"Si hablamos de enlaces, estoy seguro de que la CIA (Agencia Central de Inteligencia) también tiene mucho vínculos con organizaciones terroristas en todo el mundo, por lo que entendemos como enlaces de inteligencia", dijo Khar en una entrevista con el canal de noticias Al Jazeera, el lunes.
El ministro de Relaciones Exteriores de Pakistán, que encabeza la delegación de Islamabad a la Asamblea General de la ONU en Nueva York, señaló al grupo afiliado de al-Qaeda, Haqqani, y añadió que "esta red en particular, de la que Estados Unidos sigue hablando, es una red que fue el ojito derecho de la propia CIA durante muchos años."
Las observaciones vienen al tiempo que el saliente Jefe Conjunto de EEUU, el almirante Mike Mullen afirmó el jueves que la agencia paquistaní de espionaje, Inter-Services Intelligence (ISI), apoyaba a la red de militantes Haqqani, aliados de los talibanes, que ha sido acusada del reciente asalto a la embajada de EEUU en la capital afgana, Kabul.
"La red Haqqani, por su parte, actúa como un brazo real de la agencia de Inteligencia de Pakistán, Inter-Services Intelligence", afirmó Mullen en un reciente testimonio en el Comité de Servicios Armados del Senado de los EE.UU. "Al elegir usar el extremismo violento como un instrumento de la política, el gobierno de Pakistán, y muy especialmente el ejército paquistaní y el ISI, ponen en peligro no sólo la perspectiva de nuestra asociación estratégica sino una oportunidad para Pakistán de ser un país respetado, con influencia regional legítima'', afirmó.
Respondiendo a Mullen, Khar señaló que "es algo que no apreciamos en absoluto por nuestra parte", y agregó: "Esto no tiene fundamento. No hay ninguna evidencia que se haya compartido con nosotros."
Washington culpa con frecuencia a Pakistán por no hacer lo suficiente para combatir el terrorismo en el noroeste de la problemática zona tribal, que se extiende a lo largo de la frontera con Afganistán.
Algo que también agriaron las relaciones bilaterales han sido los ataques de aviones no tripulados de EEUU no autorizados en el territorio paquistaní, que Islamabad considera como violación de su soberanía. Muchos civiles paquistaníes han sido víctimas de ataques con drones de EEUU en el país. La situación de seguridad en Afganistán y Pakistán se ha deteriorado gravemente desde la invasión de Afganistán liderada por Estados Unidos en 2001 bajo el pretexto de la "guerra contra el terror" con los ataques terroristas en constante crecimiento en ambos países.
«Il s’agit d’une machination orchestrée en haut lieu par des proches du Président. Tout a été fait à son insu !» révèle une source proche de la présidence de la République.
L’appel lancé sur le réseau social facebook appelant à la révolte, le 17 septembre, contre le pouvoir en Algérie a suscité moult interrogations. Différentes hypothèses ont été avancées sans arriver à mettre la lumière sur cet étrange appel. Tous les ingrédients étaient réunis pour faire croire à un complot dirigé de l’étranger. Cependant, il s’agirait d’une savante manipulation cuisinée en très haut lieu, dont l’objectif est de désamorcer d’éventuelles révoltes en Algérie en les présentant automatiquement dans l’opinion comme un «complot étranger» ou sioniste. Selon notre source, un actuel conseiller à la présidence de la République a eu recours à un ancien limier du pouvoir pour mener une action des plus audacieuses.
Le spin doctor
Ce couple aurait fait appel aux services d’une grande agence américaine de communication et de lobbying dirigée par un spin doctor, connu dans le milieu des relations internationales. «La première rencontre a eu lieu à Paris en juin dernier, les deux hommes avaient exposé la problématique à l’expert en communication américain. Il a demandé un temps de réflexion», poursuit notre source. Quelques jours plus tard, le spin doctor aurait pris attache avec les initiateurs, ils se sont donné rendez-vous à Dubaï cette fois-ci. «L’expert a présenté trois plans d’action à ses clients, la campagne intitulée «Appel à la révolte le 17 septembre» a charmé nos deux hommes, pour cela l’expert américain a détaillé les raisons (signification et symbolique des dates) et les objectifs.
En parfait connaisseur, l’expert a su établir un diagnostic de la société algérienne, le profil des ciblés et les moyens d’y parvenir, le tout avec son implication directe auprès de certains acteurs politiques de la région pour d’éventuelles déclarations, afin d’étayer la thèse du complot, mais aussi avec la collaboration d’experts en informatique et réseaux pour effacer toute trace des adresses IP et de géolocalisation», explique notre source. Ce qui explique les déclarations du dirigent libyen du CNT : «Il y aura un révolte le 17 septembre, je pense !» Ou encore la déclaration d’un ministre marocain en réponse à la question de l’implication du Maroc dans cette affaire.
Selon une source à la direction Afrique du Nord-Moyen-Orient de facebook, cette page a été boostée : «Je pense que tout cela a été fait avec la collaboration de quelque technicien de notre plateforme, puisque le lien promotionnel de la page apparaissait systématiquement à tous nos adhérents DZ. Je peux vous confirmer qu’une transaction commerciale avec notre direction n’a pas été faite, néanmoins ce genre d’opération peut être réalisée ailleurs, notamment aux Etats-Unis à notre QG.» «D’après les analyses fournies par mes collègues, il y avait un flux anormal sur cette page, alors qu’il ne s’agit pas d’un lien commercial ; je pense que cela a été programmé ailleurs», confie notre source de facebook. Nous avons tenté d’obtenir officiellement des informations de la direction de facebook, mais il n’y a eu aucune réponse à nos appels incessants et emails.
Et des hackers
Pour revenir à la «campagne» du 17 septembre, les deux initiateurs auraient, selon toujours la même source à la Présidence, chapeauté un plan d’action interne, des hackers ont été engagés pour s’attaquer au site internet d’Al Jazeera, à sa page facebook. Des pseudo-internautes ont été aussi engagés dans cette opération, le tout relayé par une campagne effrénée dans la presse proche du pouvoir. Depuis le mois d’août, nous avons assisté à une campagne sans relâche contre Al Jazeera et le CNT libyen. Mais le philosophe français Bernard-Henri Lévy a été sans doute la cible de cette campagne basée sur le «complot sioniste». «Tout le monde a été mené en bateau, même le DRS aurait été trompé dans cette histoire dirigée en catimini. Des réunions intenses au sommet ont eu lieu dans toutes les directions des services de sécurité pour parer à d’éventuels dérapages ou mouvements de foules. Aucun responsable politique ou sécuritaire n’a été mis au courant de cette opération», atteste notre source.
Pourquoi a-t-on joué avec le feu et mis en danger la sécurité nationale ? «Le plan d’action livré par le spin doctor avait toutes les chances d’aboutir, puisque la stratégie repose sur la haine du juif et des sionistes, vous savez ce que cela signifie chez nous. Les médias et les appendices du pouvoir ont dopé à coups d’articles antisémites les Algériens, jusqu’à rejeter cet appel puis il y a eu la contre-révolte sur les réseaux sociaux, la presse et même dans les discussions de rue», analyse notre source. Les services de sécurité, tous corps confondus, ont alors traqué des internautes comme ceux de Djelfa ou de Belle-Vue à El Harrach. D’autres convocations et interpellations ont eu lieu un peu partout sur le territoire national. L’opération réussie, une fête aurait été organisée dans une villa sur les hauteurs d’Alger… La main de l’étranger s’avère bien de chez nous !
At least 17 people have been killed in an attack by security forces loyal to Ali Abdullah Saleh on anti-regime protesters' camp in Yemeni capital Sana'a, medics say.
A flurry of headlines out of China suggest global macro-economic volatility may be ready to take it to the next level. We discussed last week how China's oh-so-generous offer of help to Europe was merely a veiled threat playing US against Europe in a game of who-gets-the-funding. Well, tonight, it seems, they are making good on some of those threats. Aggravated by EU's lack of market economy recognition, they pull trading lines with French banks, express concern at the EUR's safety (preferring US Treasuries), and indicate a clear preference for bonds over stocks - all the while warning of growing trade tensions - consider the sabre-rattled.
Initial comments from Commerce Minister Shen via Bloomberg:
*CHINA DISAPPOINTED EU HASN'T RECOGNIZED MARKET ECONOMY STATUS
*CHINA MARKET ECONOMY STATUS IS POLITICAL DECISION, SHEN SAYS
*CHINA MARKET ECONOMY STATUS NOT TECHNICAL ISSUE, SHEN SAYS
*CHINA'S HELP TO EUROPE, MARKET STATUS HAVE NO DIRECT CONNECTION
was quickly followed by the 'threat/promise':
*MOFCOM'S SHEN: EU DEBT CRISIS MAY RAISE CHINA TRADE FRICTION
*CHINA MOFCOM IS CONDUCTING REVIEW OF NESTLE-HSU FU CHI DEAL
A big market-making state bank in China's onshore foreign exchange market has stopped foreign exchange forwards and swaps trading with several European banks due to the unfolding debt crisis in Europe, two sources told Reuters on Tuesday.
The European banks include French lenders Societe Generale , Credit Agricole and BNP Paribas.
"Apart from spot trading, all swaps and forwards trading (with the European banks) have been stopped," one source who is familiar with the matter told Reuters.
And the piece-de-resistance of the night was, again from Reuters:
China, the largest foreign holder of U.S. government debt, will keep buying U.S. Treasuries, the official People's Daily, the ruling Communist Party's mouthpiece reported on Tuesday, citing government researchers.
In an article about the reasons for China's increased purchase of U.S. Treasuries, the newspaper cited Yan Xiaona, a researcher with the Chinese Academy of Social Sciences, as saying that the dollar "is relatively safer than the euro" because of the unfolding sovereign debt crisis in Europe.
Wang Chaocai, a Ministry of Finance researcher, was quoted as saying that "what else we can buy if not U.S. Treasuries? It's more risky to buy into equities."
It seems that China did not get the answer they wanted from the Europeans and just as we said last week, swung back in favor of the US - TSYs as opposed to stocks. China 3 - Europe 0 - US 1 is the approximate score in this first round perhaps.
UPDATE: The 'game' continues into the night as China's Xinhua News cites absolutely noone when it claims Fitch's bearish stance on China's banking industry has prompted suspicions of a 'conspiracy'. And remember Fitch is French-owned.
With Europe perceiving Fitch as “purposely targeting” the region, the ratings company needs to find a new candidate to add to the “blacklist” to show its fairness, the report said, citing Wu Jingmei, head of Renmin University of China’s credit rating research center.
and then goes on to comment (via Bloomberg)
*U.S., EU SHOULD 'DITCH' PROTECTIONIST MEASURES: XINHUA
*U.S., EU SHOULD 'OPEN THEIR ARMS' TO CHINESE INVESTMENT: XINHUA
and a seemingly well-time rebuttal from Ambassador Locke:
*LOCKE SAYS CHINA BUSINESS CLIMATE CAUSING `GROWING FRUSTRATION'
*LOCKE SAYS CHINA POLICIES PLANTING `DOUBT' IN INVESTORS' MINDS
*LOCKE SAYS CHINA SHOULD LET CURRENCY APPRECIATE `MORE RAPIDLY'
*CHINA POLICY RAISES CONCERN IN FINANCIAL SERVICES SECTOR: LOCKE
We have lost score now but this rhetoric seems to be gaining pace...
La crisis económica está llevando la administración Obama a privilegiar la acción militar secreta por sobre las guerras convencionales. También ha elevado las llamadas «operaciones militares especiales» a un nivel nunca visto anteriormente. Los asesinatos con el uso de aviones sin piloto y la saturación de los medios de difusión a través de redes de informadores fantasmas organizados para desestabilizar países son las dos expresiones fundamentales de ese tipo de acciones.
En momentos en que los ataques aéreos contra Libia se elevan a 11 500 y el secretario general de la OTAN, Anders Fogh Rasmussen, pide a los aliados que aumenten sus gastos militares y que se impliquen más en la guerra, la guerra se extiende por la región del Medio Oriente y el norte de África bajo formas menos visibles, aunque no menos peligrosas, y nuevos frentes siguen apareciendo sin cesar.
La CIA, según un funcionario de esa agencia estadounidense citado por el New York Times, está construyendo una base secreta en el Medio Oriente para lanzar ataques con aviones sin piloto en territorio yemenita. Se trata de aparatos Predator/Reaper –que ya están siendo utilizados en Afganistán, Pakistán y Libia– equipados con 14 misiles Hellfire y teledirigidos desde una base situada en Nevada (Estados Unidos), a más de 10 000 kilómetros del teatro de operaciones.
Desde que entró en funciones, «el presidente Obama ha aumentado drásticamente la campaña de bombardeos de la CIA en Pakistán utilizando aviones sin piloto», los mismos que espera utilizar para «extender la guerra a Yemen». La administración los considera «como el arma preferida para perseguir y matar militantes en países donde no es posible una fuerte presencia militar americana».
El Comando de Operaciones Especiales de Estados Unidos (United States Special Operations Command, UsSoCom) está operando actualmente en Yemen, en cooperación con la CIA y autorizado por el poder ejecutivo de Sanaa. Sin embargo, debido a la «fragilidad de ese gobierno autoritario», la administración Obama está preocupada por el posible el surgimiento de un futuro gobierno que no tenga la capacidad, o la disposición, para respaldar las operaciones estadounidenses.
Así que ha encargado a la CIA la construcción de la base secreta en una localidad no identificada del Medio Oriente, para poder emprender «acciones secretas sin apoyo del gobierno receptor».
Lo anterior confirma que la administración Obama está intensificando la guerra secreta en todas sus variantes. Como declara oficialmente el UsSoCom, la guerra secreta incluye: acción directa para destruir objetivos y eliminar o capturar enemigos; guerra no convencional realizada por fuerzas externas entrenadas y organizadas por el UsSoCom; contrainsurrección para ayudar a los gobiernos aliados a reprimir una rebelión; operación sicológica para influir en la opinión pública extranjera en aras de respaldar las acciones militares estadounidenses. Esas operaciones se realizan recurriendo al uso de tecnologías cada vez más avanzadas.
Entra en ese marco la decisión de la administración Obama, divulgada por el New York Times, de crear a escala mundial «redes de la sombra en materia de Internet y de telefonía móvil que puedan ser utilizadas por los disidentes para evadir la censura gubernamental». El Pentágono y el Departamento de Estado han dedicado a ello, hasta el momento, no menos de 50 millones de dólares. Esas redes se conforman mediante el uso de pequeños maletines especiales que, ya introducidos en determinado país, permiten la comunicación con el exterior a través de ordenadores y teléfonos móviles, de forma inalámbrica y codificada, evitando así controles y prohibiciones gubernamentales.
Oficialmente, el objetivo de Washington es «defender la libertad de palabra y promover la democracia». Las redes inalámbricas clandestinas, proporcionadas únicamente a los disidentes que sean útiles a la estrategia estadounidense –en Siria o en otros países– y controladas por Washington, son las que más se adaptan a la difusión mediática de informaciones fabricadas, en el marco de las operaciones sicológicas tendientes a preparar a la opinión pública para nuevas guerras
Cientos de kuwaitíes se manifestaron el viernes en demanda de una monarquía constitucional y un gobierno electo tras el llamamiento de jóvenes activistas en favor de reformas radicales.
“El pueblo quiere la caída del primer ministro” -el jeque Nasser Mohammad Al-Ahmad Al-Sabah, un sobrino del emir-, corearon los manifestantes, en su mayoría jóvenes, durante esta protesta, bautizada con el nombre de “la Jornada del Pueblo”.
Los manifestantes exigieron el nombramiento de un primer ministro que no pertenezca a la familia gobernante de los Al-Sabah, la disolución del Parlamento, la renuncia del gobierno y la celebración de elecciones anticipadas a la vez que denunciaron la corrupción en todos los niveles del emirato petrolero.
La fiscalía inició la semana pasada una investigación sobre las cuentas bancarias de al menos nueve de los 50 miembros de la Asamblea por disponer de depósitos supuestamente ilegales. Los medios de comunicación y los diputados de la oposición afirman que los fondos, estimados en unos 350 millones de dólares, fueron entregados a los parlamentarios a cambio de su voto en varios asuntos clave.
Kuwait había evitado hasta ahora el contagio de las revoluciones árabes, pero en junio, los jóvenes kuwaitíes se manifestaron ya durante tres viernes consecutivos para exigir la dimisión del primer ministro, al que reprochan su mala gestión de los asuntos públicos.
País miembro de la OPEP, Kuwait fue la primera monarquía del Golfo que introdujo medidas democratizadoras en 1962. Sin embargo, la familia Al-Sabah, que ha gobernado el país durante más de 250 años, sigue detentando el poder y controlando los puestos más importantes del gobierno.
Kuwait se vio sacudido por una serie de crisis políticas a partir del nombramiento en 2006 de Sheij Nasser como primer ministro. Desde entonces, seis gobiernos han renunciado y el Parlamento ha sido disuelto en tres ocasiones.
The total destruction of Israel, something used by the Zionist lobby to bilk the US out of billions for years, is no longer a dream, it is inevitable. The only question is “when?” With it a limited world war may emerge with some surprises in store. It all started long ago but we can focus back one year when Israel murdered 9 Turkish citizens in an act of piracy, peace activists on an aid ship heading for Gaza. Aid ships heading for Gaza now get a military escort from the Turkish Navy and Turkey’s president is heading for Gaza and Egypt now, to slap Israel down.
A year ago, Israel and Turkey were best of friends. Their spy agencies in the US shared nuclear secrets, sold them to China, North Korea, Pakistan, Brazil, worked as partners blackmailing half of Washington’s army of corrupt officials and traitorous military officers. Patriotism in Washington is rare nowadays, considered stupid. Washington is all about “globalism” and “no borders,” about corporations, not “America.” To most in Washington, America is a joke, a bankrupt “has been” nation drowning in debt with a military now useless, spread across the globe running errands for a cabal of international bankers.
Until a week ago, the Turkish Army believed it had control of Turkey, despite the elected government. Israel believed the same. They were wrong. A year ago, Israel believed Turkey would always be controlled because of their desire to join the European Union. Now that dream is considered hopeless. Who would want to join anyway, the EU is broke, falling apart and toothless. Turkey, instead, is an economic powerhouse, outdistancing all but Germany in technology, productivity and science.
Turkey also has a huge army, a mobile army and a military tradition of relentlessness and, to be truthful, cruelty. Israel has been pointing that out of late, how Turkey wiped out the Armenians, much as Israel is wiping out the Palestinians. Problem is, Turkey’s army is big, highly disciplined, capable of supporting military operations across the entire Middle East, allied with Iraq, Iran and Egypt and considers Israel’s killings of Turkish citizens last year as an act of war.
This leaves only America or Israel’s nuclear weapons to protect them.
Problem?
Paid stooges in Washington talk about Israel’s strategic importance to the US. That’s a dream, much as the strength of Israel’s army is a dream. There are two strategic allies in the Middle East, Egypt with their control of the Suez Canal and Turkey with their control of the Bosporus, the only gateway to the Black Sea, something of immense value to the US. Turkey is also the gateway for oil from Central Asia and Northern Iraq.
Another factor is Kurdistan. Israel has controlled the PKK, the communist terror group that has killed thousands in Turkey. Israel is threatening to unleash them again. In meetings with leaders in Iraq, however, I was told that Turkish military actions against the PKK, even inside Iraq were welcomed. Kurds in Iraq hate the PKK and have long seen it as destructive. Northern Iraq is closely aligned with Turkey, their economy is totally dependent on Turkey, much more than Baghdad. Hopes for a Kurdish nation are dependent on good relations with Turkey and those relations have improved continually for some time.
One reality is the weakness of Egypt. The Mubarak government, including the military and intelligence services worked closely with Israel as did those of Turkey. It is Israel’s goal to keep Egypt in line. However, with the killing of 5 Egyptian police and the protestors sacking the Israeli embassy in Cairo, that is coming into question.
Israel still has considerable resources in place in Egypt, particularly as we saw on August 11th, 2011, when Bush/Bechtel “envoy” David Welch met with Israeli and Gaddafi representatives in Cairo, at the Four Seasons Hotel, CIA and Egyptian spies in the room, planning bribes to be paid to journalists and “peace activists” in a last ditch attempt to save another Israeli ally, Gaddafi.
Thus, Turkey will be doing a “road trip” to gain allies against Israel and to flank US backing, blackmailing the US. As Turkey has nearly all US nuclear secrets, gotten through their spy partnership with AIPAC, something we were told of when I interviewed FBI informants within the Bush White House, they have things to trade. Turkey can turn out thermonuclear weapons quickly.
Israel’s counter is their partnership with India. India is building long range ICBMs, capable of carrying 10 warheads, also capable of reaching the United States. Israel has requested 10 of those missiles, giving them the capability of hitting the United States with 100 hydrogen bombs. This is not conjecture, this deal with India has been confirmed, the weapons are being built with US technology stolen by Israel (and Turkey) and Pakistan has spies working inside every aspect of the project, no secret to anyone.
China is also aware and they believe they are a potential target of these Indian weapons. Thus, China is transferring advanced technologies, not only thermonuclear but advanced aircraft designs and missile technology to Pakistan.
In reality, from a military standpoint, India overshadows Pakistan by a mile.However, with the US in economic decline and dependent on China to buy US debt, betting against China and their close relationship to Pakistan is inadvisable. Pakistan represents China’s foothold in Central Asia and their access to a port, Gwadar, in the Indian Ocean.
China is dependent on oil from the region and sees the Indian Ocean as an area of strategic value.Pakistan is taking advantage of that.Russia is laughing themselves to death. They helped set up America to fall in Afghanistan, payback for America’s support of the Mujahideen and are enraged at the CIA and US military for its role in flooding Russia with cheap heroin from Afghanistan.
Heroin is destroying the social fabric of Russia nearly as much as drug profits that have infected the US political system have destabilized the US, left the Mexican border totally open and kept the US in Afghanistan as guardians of the largest opium den in the world.
The changes we will see?
Libya’s new government is more than aware of Israel’s interference on behalf of Gaddafi and will become a relentless enemy of Israel, despite false reports Israel has inserted into the “fringe media.” Egypt is in play. Things could go either way, depending on how meetings go this week with Turkey.
With the UN vote on Gaza a given, the US will veto Palestinan statehood, Egypt and Turkey will be pushed together as US prestige in the region crashes.Israel’s reaction under its repressive and reactionary Likudist regime, under attack at home for economic failures, one after the other, will be to push for military action against Gaza.
They may also wish to “play” in Lebanon, taking advantage of Syria’s current weakness. This would be a mistake. Syria will not “go down in flames” like the Gaddafi regime. They are too vulnerable and will lose their place at the table, offset by Turkey, a nation that has an unpleasant history in the region lasting hundreds of years, a reputation Turkey is now trying to repair.
This could also go either way. Israel still has nuclear weapons. Their “nuclear advantage” in the Middle East is now likely to make them a target.
Turkey’s army is more than a match for Israel, not even close. There is little expectation that Egypt will do more than posture as their military under Mubarak became a defensive force only, infiltrated, as is Turkey’s, with corrupt officers.
What will happen?
Israel, with all its planning, its “possible involvement” in 9/11, its very proven involvement in the 2003 invasion of Iraq and its machinations in, not just Washington but Cairo, Ankara and other capitols across the region, is the big loser. Israel is now totally isolated and very much considered sacrificable by the US, despite continual pronouncements by members of congress otherwise.
PHOTOS NOT TO BE SEEN IN ANY AMERICAN
When Israel had to turn against the Democrats, despite the fact that 79% of American Jews support the Democratic Party, and turn to the GOP and Christian Zionists for support, they bought “friends” they would never be able to trust.
For years, American conservatives were known to hate Jews, ban them from organizations, maintain “no Jews allowed” policies at resorts and “ritzy” neighborhoods, under the euphemism of “restricted.”
Red States were always “no Jews or Niggers allowed after sundown.”
This may not be taught in history books but it is real history just the same and the generation of American Jews that remember real antisemitism, not the phony “Abe Foxman” kind, know who their real friends are.
9/11 ISN'T ALL WE LIE ABOUT
Turkey, not Iran, will be forced to go nuclear. Turkey, however, is a long time American ally, a charter member of NATO and, at heart, very pro-American, pro-Western and, as it were, sitting on the world’s most strategic real estate.
Turkey is also a relentless enemy, one Israel will be too stupid to apologize to, too stupid to make reparations to and will depend on its nuclear arsenal and friends in the US for protection.
Nobody will benefit from this, not the Palestinian people, not Egypt, only those who wish to see Israel have their faces in the dirt. There is a problem with this. There was some hope that Israel itself might have a rebirth of democracy, with 500,000 demonstrators demanding the resignation of Netanyahu’s ultra-nationalist government last week, their was a hope.
The other big loser will be the United States. Pakistan will bring China into Central Asia. Turkey may well bring them into the Mediterranean or further.
"RESTRICTED" MEANS "NO JEWS"...SOMETHING MR. FOXMAN FORGOT IT SEEMS WHEN HE MADE HIS NEW FRIENDS
Whether American’s choose to recognize it or not, Bush murdered America’s military future. Social cuts and job programs won’t be enough. America will have to gut its military and withdraw from its bases around the world, that or economically die in less than 5 years.
The only other way out is “debt denial” which requires full cooperation from China and Japan. In light of these issues, these problems, Israel, that “small country” that has so much control over the US government will wake up one morning a forgotten “backwater” in world affairs.
Back in 1981, it looked like Israel would be a peaceful neighbor in a Middle East destined to move forward, maybe not to freely elected governments but at least to no longer be a sideshow for the Cold War.
There were lessons from 1981, when Jews visited Cairo as honored guests.
500,000 Israeli’s, homeless, underemployed, say they can no longer afford, even with the billions America is giving them, to try to run the world from a few acres of sand, now farmed by foreign workers.
If Israel’s extremist government continues its fear mongering, helped along by AIPAC and the ADL in the United States, Israel will not survive. Israel will not die alone, not by a long shot. The problem is that there is no political leader in Israel or within the Zionist community in the United States that seems to care.
The dreams of world domination, as some of us have always seen, never left room for the survival of Israel or any other nation.
Según informa un periódico turco, debido a la nueva tecnología, los aviones F-16 de fabricación estadounidense que tiene Turquía, ya son capaces de identificar objetivos de Israel como "enemigos" en lugar de "amigos".
Turquía ha desarrollado un nuevo sistema de identificación para sus aviones de combate F-16 hechos en Estados Unidos, que ahora les permitirá disparar a objetivos israelíes, informa la agencia estatal iraní de noticias Press TV, citando a un informe de un diario turco de hoy martes.
Según el informe, la nueva tecnología permitirá a Turquía identificar a sus enemigos autónomamente, en comparación con el antiguo sistema de EEUU, que identifica automáticamente todos los objetivos israelíes como "amigos", para evitar que los aviones de combate turcos disparen contra ellos, incluso si los pilotos turcos reciben la orden de hacerlo.
La nueva identificación de amigo o enemigo se puso en marcha en todos los aviones de combate turcos y buques militares.
La decisión se produce en el momento más alto de la crisis diplomática entre Israel y Turquía, después de que Ankara expulsara al embajador israelí por un ataque israelí que el año pasado mató a nueve turcos en una flotilla con destino al enclave palestino de Gaza. Israel ha dicho que no pedirá disculpas, cosa que Turquía ha exigido.
El primer ministro turco, Recep Tayyep Erdogan, ha pedido a Israel que se disculpe, y se ha embarcado recientemente en una visita a Egipto en un intento de restablecer las relaciones diplomáticas y militares con El Cairo.
En la primera parte de la entrevista publicada por Al-Shorouk, un diario egipcio, el lunes, Erdogan dijo que Israel "no había comprendido plenamente la realidad de los cambios que han ocurrido en el mundo árabe."
La semana pasada, Erdogan advirtió de que la marina turca fortalecerá su presencia en el Mediterráneo oriental, y que barcos de guerra turcos acompañarán a todos los buques de ayuda que deseen transferir ayuda a los palestinos en la Franja de Gaza.
Moustapha Abdeljalil, chef du Conseil National de Transition libyen (CNT), et le Président français Nicolas Sarkozy.Sarkozy : « L’Algérie dans un an, l’Iran dans trois… » !
Nidal Hamadé, journaliste correspondant en Europe d’Al-Intiqad, quotidien libanais, évoque les rôles respectifs des deux principaux alliés et acteurs des États-Unis dans les événements au Proche-Orient, à savoir la France et le Qatar. Selon des sources françaises citées par Nidal Hamadé, à l'occasion de la visite en France de Moustapha Abdeljalil, président du Conseil National de Transition libyen (CNT), Nicolas Sarkozy a affirmé à son hôte qui se plaignait de l’Algérie : « Patientez, et vous verrez ce qui va se passer en Algérie dans un an, et en Iran dans trois » !
Ces propos démontrent que ce qui se passe au Proche-Orient actuellement, surtout après la révolte de la jeunesse égyptienne et la chute du régime de Moubarak, est soumis à un agenda étranger dans lequel les puissances occidentales colonisatrices veulent redessiner le Proche-Orient. En effet, d’après Nidal Hamadé, le timing des menaces françaises contre l’Iran et celui de la campagne virulente du Qatar contre la Syrie ne sont pas innocents.
Au contraire, non seulement ils révèlent « l’alliance secrète qui lie la France et le Qatar dans le monde arabe, sous le parrainage des États-Unis », mais en plus ils interviennent après « l'échec de la visite de l'Émir du Qatar (Hamad Bin Khalifa Al-Thani) à Téhéran, et dont le rôle de simple courtier pour le compte de Washington était de faire parvenir à Téhéran la demande américaine de couvrir l’occupation américaine en Irak en acceptant sa prolongation pendant encore deux ans. En échange, les États-Unis promettaient d'ouvrir des négociations sur tous les dossiers chauds de la région, y compris le dossier nucléaire » souligne M. Hamadé.
« La réponse de l'Iran à l'Émir du Qatar fut la même que celle donnée aux Saoudiens : l'Iran ne couvrira pas la présence des forces américaines sur le territoire irakien. Au contraire, elle va défendre la position de ses alliés irakiens, notamment celle du Premier ministre Nouri al-Maliki, qui exigent un retrait des forces américaines selon le délai fixé par la Convention américano-irakienne, c’est-à-dire l’année prochaine », précise le journaliste.
Il ajoute : « Ce rejet de l'Iran a poussé la France et le Qatar, alliés exécutifs des États-Unis dans les crises du monde arabe, à déclencher une guerre contre la Libye puis à provoquer la Syrie. L’Émir du Qatar a en effet lancé une campagne virulente contre la Syrie, immédiatement après sa rencontre avec les responsables iraniens, en concordance avec une campagne sans précédent menée par Al Jazeera, qui a diffusé de fausses informations sur de prétendues manifestations monstres contre le régime de Damas ! Ces informations ont été démenties par la télévision syrienne qui, pendant cinq heures, avait dû diffuser en direct des images des places de la capitale syrienne au même moment où Al Jazeera et une autre chaîne satellitaire retransmettaient leurs informations tronquées ! ».
Mais, le Qatar ne s’est pas arrêté là… « Sa campagne contre la Syrie s’est poursuivie au sein de la réunion de la Ligue arabe, où les ministres des Affaires étrangères ont discuté du dossier syrien. Le ministre des Affaires étrangères qatari, Hamad Bin Jassim, a exprimé une position très dure envers la Syrie », a expliqué Nidal Hamadé. Quant à la France, « le Président Sarkozy s'en est pris à l’Iran et l’a menacé de frappes contre ses sites nucléaires pacifiques » ajoute le correspondant libanais.
A la lumière de ce qui a été dit, « il semble que la campagne ciblant la Syrie risque fort de s'élargir pour inclure l'Iran et… l’Algérie. La première à cause de son programme nucléaire et de sa position quant à la présence américaine en Irak, sans oublier son soutien aux mouvements de résistance dans le monde arabe et islamique, et la deuxième pour sa position vis-à-vis de la Libye. La France espère déstabiliser le régime actuel pour le renverser et assurer son retour dans un pays riche en pétrole, en gaz et en uranium… Puisqu’il est impossible de lancer une guerre préventive contre l’Iran ou la Syrie, cela laisse l’Algérie exposée à toutes les éventualités » conclut le journaliste.
En Libia, el objetivo clave del intento del derrocamiento de Kadafi es el petróleo. La gran dinámica movilizadora de las invasiones militares, las guerras y conflictos regionales, y los golpes internos de la CIA contra líderes y presidentes desgastados que ya no "cierran" con el control estratégico hegemónico de la primera potencia imperial del sistema capitalista, es el apoderamiento de los mercados y de las fuentes naturales del "oro negro". Un recurso clave (y en extinción) para la supervivencia futura de las potencias centrales.
o de Libia estaba cantado. Es el premio mayor en el tablero de las "revueltas populares" armadas y organizadas por la CIA, el Mossad y los servicios "aliados" en África y Medio Oriente.
Después de iniciar un proyecto de remodelación "democrática" expulsando a sus desgastados dictadores aliados en Egipto y Túnez, EEUU va por el petróleo libio y por una posición estratégica en el dispositivo del control geopolítico militar en África.
Para EEUU y los centros del poder imperial mundial, África es un continente seguro de abastecimiento petrolero que contrabalancea la inestabilidad conflictiva de un explosivo Medio Oriente, y de un Asia Central en disputa permanente entre el eje Rusia-China y el bloque "occidental" EEUU-Unión Europea.
En el marco de la "guerra fría" energética con China y la Rusia de Putin, el poder imperial norteamericano y sus transnacionales intentan convertir a África en una especie de colchón energético de seguridad frente a un explosivo Irán y un Medio Oriente cruzado por los conflictos militares.
La importancia de África como suministrador de petróleo a las potencias centrales es clave. Ya produce cerca del 12% de lo que se consume en el mundo y el 25% de lo que consumen los EEUU, más de lo que este último país importa desde Arabia Saudita.
Desde el marco geopolítico y estratégico de la "guerra contra el terrorismo" EEUU, potencia locomotora del sistema capitalista y sus socios de las grandes potencias europeas, avanzan en su proyecto de conquista del continente africano para posicionarse en el control de sus reservas energéticas y minerales.
A este proyecto respondió la decisión de la administración Bush de crear el "The United States Africa Command (AFRICOM), un comando de "guerra contraterrorista" que empezó a operar activamente en toda la región en el 2008.
El control geopolítico y militar del continente africano, que produce entre 12 y 14 millones de barriles diarios de petróleo (estimaciones para el 2012), otorga a los EEUU el margen de maniobra y seguridad suficientes que justifican las intervenciones militares en estos países.
Los gobiernos africanos, controlados por oligarquías y "señores de la guerra" financiados y protegidos por Washington, se ven cada vez más impotentes para controlar a los movimientos armados nacionalistas que obstaculizan el saqueo de las transnacionales, como es el caso de Somalía y el Cuerno de Africa.
En este escenario, y siguiendo la nueva doctrina impuesta en la revisión cuatrienal de la Defensa de febrero de 2006, el Pentágono comenzó a desarrollar operaciones militares en alta escala por todo el territorio africano, principalmente en sus regiones energéticas y mineras claves del sur y del norte, creando unidades especializadas dedicadas a la instrucción y el adiestramiento de tropas locales en el "combate al terrorismo".
La estrategia operativa incluye reuniones entre estados mayores de países regionales con oficiales y funcionarios del Pentágono, maniobras y ejercicios conjuntos de las tropas, vuelos sistemáticos de aviones de reconocimiento, localización a través de fotos tomadas por satélites militares norteamericanos, y de provisión de armas y tecnología de alta precisión a las fuerzas implicadas en la "guerra contra el terrorismo".
La estrategia del Pentágono en África responde a un doble objetivo, geopolítico-militar y económico.
Además del negocio que proporciona a las armamentistas y a las contratistas de servicios del Pentágono el incremento de las operaciones militares contra el "terrorismo" en la región, se estima que África y sus regiones proporcionarán, en apenas una década, el 25% del crudo que consumirá EEUU en 2015.
Tener el control del acceso a esas fuentes de recursos se ha convertido en un objetivo estratégico central para Washington y sus corporaciones protegidas por el Pentágono.
La función y misión principal del nuevo mando militar USA para el continente africano, es la de vigilar y controlar las fuentes energéticas africanas, así como sus sistemas de distribución mundial (oleoductos, buques petroleros, y rutas).
Y eso es lo que están haciendo las tropas norteamericanas y los gobiernos títeres "asociados" como los de Nigeria y Yemen (entre otros) que utilizan elexterminio en masa de rebeldes y de población justificado bajo el argumento del combate contra los "grupos terroristas".
Esta misión principal de las tropas imperiales fue enunciada en un principio, por el presidente Jimmy Carter en enero de 1980, cuando describió al caudal petrolero del Golfo Pérsico y de Africa como un "interés vital" para los EEUU.
Carter, elegido luego Premio Nobel de la "Paz", afirmó que EEUU debería emplear "cualquier medio que fuese necesario, incluyendo la fuerza militar" para enfrentar y neutralizar cualquier intento por parte de un poder "hostil" para bloquear esos recursos estratégicos.
Con la creación del nuevo comando unificado para las operaciones militares en Africa (AFRICOM), anunciado por el secretario de Defensa, Robert Gates en febrero de 2007, Washington y sus corporaciones petroleras, detrás de la fachada de la "guerra contraterrorista" comenzaron un plan totalizado de control y apoderamiento del petróleo y de los recursos estratégicos del continente negro.
En este escenario hay que leer los acontecimientos de "revueltas populares" organizadas por la CIA en África y Medio Oriente, y el sangriento golpe interno que está funcionando contra Kadafi en Libia.
El "golpe petrolero" en Libia
A diferencia del resto de los procesos de "protesta popular en el mundo árabe islámico" infiltrados por la CIA y las inteligencias "aliadas", Libia se inscribe en los patrones operativos de las "revoluciones naranja" en el espacio soviético, o en los "golpes budistas" del Tibet o Birmania, o en la rebelión "reformista" para derrocar a los ayatolas en Irán, encuadrados en la nueva "guerra fría" por áreas de influencia (militar y comercial) que mantiene el eje capitalista Rusia-China con el eje capitalista USA-UE-Israel.
La clave del golpe contra Kadafi es el apoderamiento del petróleo libio, cuyo control (como sucedió con Irán en 1979) perdió con la irrupción de Kadafi en el liderazgo de Libia en 1969.
Libia, miembro de la Organización de Países Productores de Petróleo (OPEP), es el cuarto productor de petróleo en Africa, después de Nigeria, Argelia y Angola, con cerca de 1,8 millones de barriles diarios y posee unas reservas evaluadas en 42.000 millones de barriles.
Según la agencia norteamericana de información sobre la energía (EIA), Libia era en 2009 el cuarto productor de petróleo en África con una producción de 1,789 millones de barriles diarios, detrás de Nigeria (2,211 mbd), Argelia (2,125 mbd) y Angola (1,948 mbd).
Libia también quiere desarrollar su producción de gas natural, sector en el que tiene reservas estimadas en 1,540 billones de m3, según la Organización de Países Exportadores de Petróleo (OPEP).
El país ha duplicado casi sus exportaciones de gas natural en tres años, de 5.400 millones de m3 en 2005 a más de 10.000 millones de m3 anuales, también según estadísticas de la OPEP.
Libia exporta la mayor parte de su petróleo a los países de Europa, entre ellos Italia, Alemania, España y Francia, y aunque participan del negocio, las petroleras norteamericanas no tienen la hegemonía en la extracción y comercialización del crudo de ese país.
Este dato es clave para entender el golpe interno que la CIA lanzó en Libia montada en la fachada de las "revueltas árabes" contra "regimenes dictatoriales de Africa y Medio Oriente.
De la misma manera como trata de desestabilizar Irán con la misma metodología operativa de infiltración y orientación política de las "protestas populares", Washington aprovecha este escenario para lanzar un movimiento interno oreintado a derrocar a Kadafi, un aliado "inestable" queprivilegia las relaciones con Europa y con los países incursos dentro del "eje del mal".
A la llegada al poder del coronel Kadafi en 1969, las compañías petroleras,mayoritariamente estadounidenses, extraían del suelo libio más de 2 millones de barriles diarios.
Pero muy rápidamente, el líder libio nacionalizó el petróleo, limitó la producción, le quitó la hegemonía de extracción y comercialización a las pulpos norteamericanos y creó la Compañía Nacional del Petróleo (NOC), que inició emprendimientos conjuntos con participación minoritaria de empresas extranjeras.
Después de veinte años de aislamiento, el régimen de Kadafi volvió a abrir los recursos energéticos y petroleros libios a la voracidad de las compañías petroleras occidentales, principalmente de la Unión Europea.
El ex primer ministro británico Tony Blair fue el primero en estrechar la manos con el "viejo enemigo" de Occidente en Trípoli. Al hacer eso, comenzó a conducir a Libia fuera de la marginalidad financiera, y a entregarla a los brazos de Royal Dutch/Shell y BAE Systems , que cotizan en la Bolsa de Londres.
La visita de Blair a Libia en 2004, la primera de un líder británico desde 1943, estuvo marcada por una sociedad establecida entre Shell y la petrolera estatal libia, unos 30 años después de que la firma anglo-holandesa produjera por última vez en suelo libio.
Desde el año 2003 se instalaron en Libia la corporación italiana ENI, la francesa TOTAL, la española REPSOL YPF y la angloholandesa Royal Dutch Shell. Las usamericanas Chevron y Occidental tuvieron que esperar tres años a que EEUU levantara sus sanciones comerciales para poder ingresar en la torta petrolera libia.
En 2010, de enero a noviembre, los países europeos miembros de la Organización para la Cooperación y el Desarrollo Económico (OCDE) compraron una media de 1,06 millones b/d de Libia, precisó la Agencia Internacional de la Energía (AIE).
En este escenario de relativa "postergación" (su participación en Libia no es hegemónica) de los consorcios petroleros norteamericanos en relación a los europeos marca una de las líneas conducentes centrales de las actuales operaciones desestabilizadoras y golpistas contra Kadafi en Libia.
En el actual escenario represivo en Libia, se verifica la presencia de actores internacionales conocidos y de operaciones golpistas de EEUU que se repiten como un calco a escala global con distintos nombres, como"revoluciones naranjas" en los ex países soviéticos, "rebelión budista"en el Tibet y el sudeste asiático, y los más recientes denominados"revueltas árabes islámicas" que se propagan por África, Medio Oriente y amenazan con extenderse a China, Rusia y los ex países soviéticos.
Por un lado Kadafi y su régimen de más de 40 años cierra sus fronteras a la prensa internacional y reprime en forma sangrienta con la fuerza militar a los grupos "opositores" armados y financiados por la CIA y los "servicios occidentales".
Y por el otro, el bloque "democratizador" con EEUU, la UE, la ONU y las ONG de la CIA, crea las condiciones internas e internacionales para terminar con Kadafi e instalar un "gobierno democrático" controlado por Washington.
Viejas estrategias, viejas operaciones, y viejos actores conocidos. El objetivo estratégico siempre es el mismo: control geopolitico y militar regional, control del gobierno, control de los recursos estratégicos y control de los mercados.
En Libia, el objetivo clave del intento del derrocamiento de Kadafi es elpetróleo.
La gran dinámica movilizadora de las invasiones militares, la guerras y conflictos regionales, y los golpes internos de la CIA contra líderes y presidentes desgastados que ya no "cierran" con el control estratégico hegemónico de la primera potencia imperial del sistema capitalista, es elapoderamiento de los mercados y de las fuentes naturales del "oro negro".
Un recurso clave (y en extinción) para la supervivencia futura de las potencias centrales.
(*) Manuel Freytas es periodista, investigador, analista de estructuras del poder, especialista en inteligencia y comunicación estratégica. Es uno de los autores más difundidos y referenciados en la Web. Ver sus trabajos en Google y en IAR Noticias
El fugitivo ex dictador de Libia Gadafi ha pasado a la clandestinidad con la ayuda de los más sofisticados y modernos sistemas de comunicaciones suministrados por Gran Bretaña en 2007.
Tras tres años después del embargo liderado por Estados Unidos de armas impuesto contra el país del norte de África y levantado después, el ex primer ministro británico, Tony Blair, visitó Libia en 2007 con la ya famosa sonrisa y un bolsillo lleno de ofertas, incluyendo un acuerdo para abastecer al país los más modernos al día los sistemas de mando y control realizadas por General Dynamics UK, que es similar a los sistemas de Bowman utilizado por el ejército británico.
El sistema es una red portátil de comunicaciones, que permite a todo comandante en jefe hasta el soldado en una zanja el comunicarse el hacking y el escuchar.
Durante la visita de Blair, General Dynamics, aseguró una de las mayores ofertas de todos con el coronel ahora prófugo por valor de $ 165 millones.
Inmediatamente después de que el acuerdo se firmó, un ejecutivo de General Dynamics, escribió al entonces embajador del Reino Unido de Libia, Vicente Fean apreciar la asistencia de la Oficina de Relaciones Exteriores.
“Querido Vicente, que quería inmediatamente de dirigirme a usted las gracias … por su interés y apoyo en el difícil camino hacia el éxito en el programa”, escribió el jefe de General Dynamics.
Las cartas publicadas por el Ministerio de Relaciones Exteriores bajo la libertad de información revelan hasta qué punto la empresa está en deuda con Vince, el ex embajador.
Un corresponsal de Channel 4 News dice la forma en que se dieron los pasaportes de los trabajadores británicos que habían estado trabajando en la tristemente célebre base militar en el sur de Khamis Trípoli.
“Hemos tratado de conducir a través de las puertas la mayoría de la tristemente célebre base militar en el sur de Khamis Trípoli, cuando un hombre armado [una de las fuerzas revolucionarias] empujó una docena de placas para la identificación en nuestro vehículo”, dijo el corresponsal.
“Para nuestra sorpresa, vimos que los nombres y fotos de los hombres británicos. Los pasos se dirigían a “colaboradores de la 32 brigada”. ¿Cuál era la naturaleza de su “colaboración” con el 32 º temido y de elite – a cargo de Khamis, el hijo del coronel “, agregó el periodista de Channel 4 News.
“Hemos tenido una idea – dos de estos hombres estaban vinculados a General Dynamics UK y que hace que las exportaciones de sofisticados comandos sistemas de control”, dijo el periodista.
Este caso es sólo un charco en un océano de armas del gobierno británico y las ventas de equipo militar a los regímenes represivos del norte de África a Oriente Medio.
Laura Booth, sister-in-law of former British prime minister Tony Blair, has called on Lebanon, Jordan and Egypt to invade Israel.
No stranger to Middle Eastern politics, she sailed to Gaza in the flotilla protest.
At a rally in London Trafalgar’s Square, she proclaimed “We say here today to you, Israel, we see your crimes and we loathe your crimes. And to us your nation does not exist, because it is a criminal injustice against humanity. We want to see Lebanon, Jordan and Egypt go to the borders and stop this now.”
She recently has converted to Islam. She now covers her head with a hijab or scarf when she leaves home, has given up alcohol and visits a mosque when she can.
The 43-year-old mother of two says she had a religious awakening during a visit to a shrine in the Iranian holy city of Qom.
“I sat down and felt this shot of spiritual morphine, just absolute bliss and joy,” she said. The former reality TV contestant decided to convert immediately upon her return to Britain. “I always felt that the ummah [Muslim community] is a very loving, peaceful place and I am proud to be a member of it.”
She says she has stopped eating pork, reads the Koran every day and has not ruled out wearing a burka in the future.
“I also haven’t had a drink in 45 days, the longest period in 25 years,” she said. “The strange thing is that since I decided to convert I haven’t wanted to touch alcohol, and I was someone who craved a glass of wine or two at the end of a day.”
La información sin censuras, sin maquillaje, la realidad y los verdaderos motivos de las actuales guerras en nombre del nuevo régimen nazi de EEUU e Israel. Si el Pentágono realmente creyera que es posible obtener una victoria rápida y fácil sobre Irán, hace mucho que lo habría invadido, Myster Bush marioneta de Israel,cuando quiera puede empezar la partida, los faroles se han terminado.
Edoardo Agnelli que fué asesinado por sionistas el mes 11 del año 2000.