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miércoles, 19 de diciembre de 2007

Rapport Andreotti sur l’Opération Gladio


Les réseaux clandestins au niveau international
Après la Seconde Guerre mondiale, la peur de l’expansionnisme soviétique et l’infériorité des forces de l’OTAN par rapport au Kominform conduisirent les nations d’Europe de l’Ouest à envisager de nouvelles formes de défense non conventionnelles, créant sur leur territoire un réseau occulte de résistance destiné à oeuvrer en cas d’occupation ennemie, à travers le recueil d’informations, le sabotage, la propagande et la guérilla.

Des réseaux de résistance furent organisés par la Grande-Bretagne, en France, en Hollande, en Belgique et vraisemblablement au Danemark et en Norvège. La France s’occupa des territoires allemands et autrichiens soumis à son contrôle et du territoire national jusqu’aux Pyrénées, tandis que la Yougoslavie centra sa préparation militaire essentiellement sur ce type d’opérations spéciales. Quant à notre pays, le Service Information des Forces Armées (SIFAR) étudia depuis 1951 la réalisation d’une organisation " clandestine " de résistance soit pour uniformiser dans un seul cadre opérationnel de défense les structures militaires italiennes avec celles des alliés, soit pour développer de telles initiatives de façon autonome portées en avant par un pays étranger en Italie septentrionale (les services italiens étaient chargés d’accueillir les organisations US homologues qui développeraient dans l’Italie du Nord des groupes clandestins. Notes du général Musco 8.12.51).

Stay-Behind et la participation italienne aux organes collégiaux de coordination du secteur
Alors que la structure italienne avançait dans sa mise en place, un accord fut signé entre les services américains et le SIFAR, relatif à l’organisation et aux activités du " réseau clandestin post-occupation ", accord communément appelé Stay-Behind par lequel furent confirmées toutes les obligations précédemment intervenues entre l’Italie et les USA. Ainsi, les bases furent jetées pour réaliser l’opération indiquée en code sous le nom de " Gladio ". Une fois constitué l’organisme clandestin de résistance, l’Italie fut appelée à participer, à la demande française, aux travaux du CCP (Comité Clandestin de Planification) opérant dans le cadre du SHAPE (Supreme Headquarters Allied Powers Europe). Un tel organe était chargé d’étudier la conduite de l’activité informativo-collective en cas de guerre, avec une référence particulière aux territoires susceptibles d’occupation ennemie. Dans le comité étaient déjà représentés les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la France, l’Allemagne et d’autres pays de l’OTAN. En 1964, notre service Informations fut invité à rejoindre le CCA (Comité Clandestin Allié), organisme chargé d’étudier et de résoudre les problèmes de coopération entre les différents pays, pour le fonctionnement des réseaux d’évasion et de fuite. La Grande-Bretagne, la France, les Etats-Unis, la Belgique, les Pays-Bas, le Luxembourg et l’Allemagne de l’Ouest appartenaient déjà à ce comité.

L’opération Gladio
Sur la base des accords signés tour à tour avec les organisations parallèles des autres nations, le SIFAR inaugura l’organisation clandestine à travers la constitution d’une structure :
Contrôlée par la structure officielle d’information.
Formée d’agents opérant sur le territoire qui, au vu de l’âge, du sexe et de l’occupation, détenaient de bonnes possibilités d’échapper à d’éventuels déportations et internements.
De gestion facile, même de la part d’une structure de commandement extérieure au territoire occupé.
Couverte par un secret maximal et pour cette raison subdivisée dans un ordonnancement cellulaire pour réduire au minimum les dommages de dysfonctionnement.

Le réseau clandestin s’articulait ainsi :
Service informations.
Service sabotage.
Service propagande et résistance générale.
Service radio-communication.
Service chiffres.
Service réception et transfert de personnes.

Les secteurs devaient opérer indépendamment les uns des autres, dont, en théorie, ils devaient ignorer l’existence, raccordés et coordonnés à une base extérieure de repli, individualisée par le SMD en Sardaigne.

Selon le plan de travail fait par le SIFAR, l’organisation de la structure de résistance comportait :
La formation du personnel directeur à travers un cours d’instruction auprès de la Training Division de l’ " Intelligence Service " britannique.
Le recrutement des chefs de réseau et des agents, avec le concours du service Informations.
La planification géographique et opérationnelle des différents services en Italie septentrionale, à raccorder aux bureaux opérations des trois forces armées et au service info USA.
Le choix du matériel avec l’intelligence US.

Après une longue phase de gestation en 1956, fut constituée dans le cadre du bureau " R " du SIFAR, une section entraînement dénommée SAD (Etudes spéciales et entraînement du personnel), à travers laquelle le SIFAR, pour la première fois dans son histoire, met en oeuvre le commandement des " forces spéciales " et de l’appareil d’organisation didactique et logistique nécessaire à leur fonctionnement.

La section, dont le responsable avait un rôle de coordinateur général de l’opération " Gladio ", s’articulait en quatre groupes : l’un de soutien général, un autre de secrétariat permanent et d’activation des branches opérationnelles, un troisième de transmissions, le dernier de support aérien, logistique et opérationnel. Autre structure à la disposition de la section : le CES (Centre d’Entraînement Sapeurs).

Les lignes directrices qui uniformisent l’activité de la nouvelle section sont :
La constitution de l’appareil directeur central et la planification générale.
La constitution et le renforcement de la base d’entraînement, des instructeurs et des équipements didactiques.
La constitution du centre transmissions (pour les liaisons à grande distance, activité de propagande radio, transmission de brouillage).
La planification des éléments fondamentaux de l’organisation (sécurité, personnel, entraînement, organisation et documentation).
La dispense de cours d’entraînement à l’étranger (auprès de l’école du service US).
Activation des branches opérationnelles (40 noyaux parmi lesquels :) 6 informations 6 propagande 10 sabotage 6 évasion et fuite 12 guérilla 5 unités de guérilla prêtes à l’emploi dans les régions stratégiques appelées : Etoile alpine, Etoile marine, Rhododendron, Azalée et Genêt.
L’entraînement et la qualification des éléments des noyaux et des unités prêtes à l’emploi.
La reconnaissance terrestre et aérienne des zones stratégiques.
Le recueil de la documentation (cartographique, monographique et photographique).
Les activités expérimentales dans le cadre du CES (aériennes, marines, parachutistes, sous-marines et terrains difficiles).

Les dépôts d’armes
En 1959 l’intelligence US envoya auprès du CES les matériels opératoires destinés à équiper les noyaux et les unités opérationnelles, à dissimuler en temps de paix dans des caches appropriées enterrées dans les différentes zones d’opération.

Les matériels en question furent enveloppés dans des emballages spéciaux afin d’en assurer la parfaite conservation et, à partir de 1963, la pose des containers commença. On comptait dans ce matériel des armes portables, munitions, explosifs, bombes, poignards, couteaux, mortiers de 60 mm et canons de 57 mm, fusils de précision, transmetteurs (émetteurs radio), viseurs et différents accessoires.

A la suite de la découverte fortuite d’un container par des carabiniers aux environs de Aurisina, afin d’obtenir de meilleures conditions de sécurité, on commença à partir de 1972, à récupérer tout le matériel et à le stocker dans des postes de carabiniers proches du lieu où il avait été enfoui. Les explosifs furent concentrés près du CES et du dépôt de munitions de Camponela (Nuoro). L’opération de récupération menée en 1973 permit de récupérer 127 des 139 containers.

Parmi les containers manquants :
2 (armes légères) furent emportés par des inconnus, sans doute à l’époque où on les avait enterrés (31.10.64).
8 (armes légères, matériels) furent abandonnés sur les lieux mêmes car leur récupération impliquait des démolitions inopportunes.
2 (un avec des armes légères, un avec des explosifs) irrécupérables parce que englobés par une extension de superficie d’un cimetière.

Directives sur la guerre non orthodoxe (GNO)
Dès les années 80, la réduction des exigences inhérentes aux précédentes dépositions post-Seconde Guerre mondiale et les modifications radicales survenues au Service d’Information et de Sécurité Italien ont conduit à revoir les modalités de réalisation de la guerre non orthodoxe, fût-ce dans le respect par notre pays des accords internationaux.

Dans un tel contexte, la réduction des directives du SHAPE, en particulier sur la guerre non orthodoxe, de janvier 1969, et les accords conclus au siège du Comité de Coordination Alliée ont entraîné la formation au SISMI de cadres qualifiés et gradés pour instruire du personnel externe, en cas d’invasion, sur des opérations militaires clandestines telles que :
Informations et propagande.
Évasion et infiltration.
Guérilla.
Sabotage.

Toute la conduite des opérations est confiée à du personnel du SISMI qui active une base nationale déjà prête sur notre territoire. En temps de paix, cette base assume également des fonctions d’entraînement pour la lutte clandestine et les dépôts de matériel sous le nom conventionnel de Centre d’entraînement sapeurs et paras.

Pour les opérations clandestines, il fut prévu au départ l’enrôlement d’un millier d’éléments environ parmi lesquels une centaine déjà recrutés et entraînés pour les activités d’information, de propagande, d’évasion et d’infiltration. L’entraînement et la participation à des actions de sabotage et de guérilla sont réservés à des membres du service particulièrement sélectionnés. En cas de conflit, on prévoit le recrutement, au sein des cadres du service, d’un nombre indéfini de partisans (soldats).

L’activité principale en temps de paix consiste essentiellement à rechercher et éventuellement à recruter des personnes aptes à assurer des fonctions de commandement et des éléments maîtrisant des notions spéciales.
L’entraînement du personnel recruté.
Des exercices en commun avec les services alliés.
L’acquisition et la conservation à long terme du matériel.
Le contrôle du personnel déjà recruté à des fins de sécurité.
L’échange d’expérience avec les services reliés entre eux.

Le recrutement du personnel " civil " en quatre phases : individualisation, sélection, entraînement et contrôle.

La loi 80.177 prévoit :
L’interdiction de recruter des sujets tels que membres du Parlement, conseillers régionaux, provinciaux ou municipaux, magistrats, ministres du culte ou journalistes.
La possession de qualités garantissant " une fidélité scrupuleuse aux valeurs de la Constitution républicaine antifasciste ".

Bien sûr pas de charge pénale, ni de politique activiste, ni de participation à des mouvements extrémistes quels qu’ils soient.

Des contrôles réguliers vérifient la permanence des exigences précitées, dont le manquement implique - dans certains cas, cela s’est produit - l’exclusion de l’organisation.

Conclusion
On peut affirmer aujourd’hui que l’opération :
Est prévue par des directives de l’OTAN et insérée dans la planification.
Est réalisée et perfectionnée à des fins de sécurité absolue, surtout en ce qui concerne le contrôle sur l’emploi du matériel, dont le personnel ne pourra entrer en possession que sur l’initiative des autorités centrales et par le recours à des modalités particulières qui ne tolèrent aucune initiative autonome au niveau intermédiaire.
Est destinée à contrarier d’éventuelles occupations étrangères du territoire national susceptibles de mettre en péril les institutions démocratiques ou la libre expression des droits constitutionnels.

A la lumière des événements récents et significatifs qui ont bouleversé l’Europe de l’Est, le gouvernement s’impose de revoir toutes les dispositions en matière de guerre non orthodoxe et de promouvoir toute initiative propre à vérifier, tant sur le plan politique que sur celui de la technique militaire, l’actuelle utilité et la validité des systèmes de protection du territoire national.

Giulio Andreotti, président du Conseil italien

http://www.voltairenet.org/

miércoles, 12 de diciembre de 2007

Informe de los servicios de inteligencia estadounidense sobre Irán

Un extraño informe sobre Irán

Nazanin Amirian
Rebelión


Conociendo la Casa Blanca y sus maneras de actuar, todo indica que habría que coger con pinza la publicación de un informe de la Oficina del Director de Inteligencia Nacional estadounidense sobre el programa nuclear de Irán. Aunque es cierto que no tenemos acceso a la información oculta, podemos plantear algunas hipótesis como herramienta para atar cabos e intentar analizar lo que se está cocinando y lo que está por ocurrir.



Partiendo de la base de que el informe en cuestión está redactado en unos 100 folios, y sólo se ha hecho publico unos 10, y además posee un intencionado lenguaje complejo, interminables insinuaciones, suposiciones y valoraciones, y afirmaciones contradictorias, barajamos las siguientes hipótesis para descifrar los porqués de su publicación:

1. Que, por el hecho de que son Israel y los sectores proisrailíes de EEUU quienes presionan el ataque a Irán, puede ser un intento de los sectores “nacionalistas” de establishment del país, en poner fin a que sea Tel Aviv quien determine su agenda política para Oriente Medio. Ellos son conscientes de que los intereses de su país (y no de la administración Bush) han sido duramente perjudicados con el derrocamiento de Saddam y la desestabilización de la zona; mientras Israel, que ha borrado del mapa a uno de los principales rivales que le cuestionaba la hegemonía sobre la región se ha presentado como el gran beneficiario.

2. Que el informe nace a causa de las discrepancias entre los sectores (tanto republicanos como demócratas) que consideran que DE MOMENTO una guerra contra Irán no es conveniente.

3. Que ha habido algún importante acuerdo entre Irán y EEUU: por ejemplo, a cambio de garantías para no agredir a Irán, éste país ayudaría en pacificar Irak y Afganistán, los dos problemas más importantes de la política exterior de la superpotencia en la actualidad.

4. Que es una forma de ganar tiempo hasta convencer a China y Rusia, así como a la opinión publica internacional, de la necesidad del ataque militar.

5. Que es una de las artimañas del equipo Bush- Cheiney para relajar la opinión publica, e impedir la formación de movimientos contra la guerra, para luego lanzar un ataque sorpresa ¿en apoyo del amigo israelí amenazado por Irán?.

6. Que la CIA pretende de este modo curarse en salud, por si una vez atacado Irán no se encontrase ningún indicio de las armas de destrucción masiva de los ayatolás. Y que la confesión de los errores es de los sabios y que las mentiras tienen patas cortas.

Puede haber más hipótesis...

¿El informe significa un cambio de política de Washington respecto Irán?

Determinantemente no, y por varias razones.

1.Para ver el increíble parecido del guión aplicado a Irak ahora contra Irán, merece pena recordar que en octubre del 2002 Joseph Wilson el agente de la CIA que investigaba el supuesto intento de Saddam de comprar uranio en Nigeria –uno de los argumentos más potentes de Bush para justificar el ataque a Irak-, informó a la casa blanca de que aquella información carecía de fundamento. Aun así, Bush en su discurso sobre Estado de la Unión del 28 de enero del 2003, dijo que "el gobierno británico ha descubierto que Saddam Hussein recientemente intentó comprar cantidades significativas de uranio en África" . Por su parte, la Agencia Internacional para Energía Atómica, había presentado pruebas ante el consejo de seguridad que tales informaciones simplemente eran falsas. Pero nadie podía evitar la ejecución de su macabro plan, en una de las regiones más estratégicas del planeta.
2. Que desde hace meses el informe ha estado a la disposición de la Casa Blanca. Por lo que cuando Bush, en el 17 octubre dijo "Le he dicho a la gente que si está interesada en evitar una Tercera Guerra Mundial, parece que debe estar interesada en evitar que ellos (Irán) obtengan el conocimiento necesario para construir un arma nuclear"; pero también lo conocía cuando el 29 de agosto alertó de un “holocausto nuclear” si Irán consigue el arma atómica.

3. La afirmación del informe en que "hemos logrado progresos en nuestro intento de evitar que eso ocurra”, por amenazas militares y presiones diplomáticas, políticas y económicas, y también de que “el riesgo de que Irán adquiera un arma nuclear sigue siendo un problema serio" sugiere continuar con la misma política, por lo cual Bush revela, tras el informe que "todas las opciones" siguen sobre la mesa, eufemismo para referirse a acciones militares.

4. El informe afirma que las intenciones de Irán de lograr una bomba nuclear "no son claras", y que si Teherán decidiera seguir adelante con su programa, tardaría dos años en contar con el suficiente uranio enriquecido para producir una bomba nuclear. O sea, además de que esto puede ser interpretado como una invitación a un ataque PREVENTIVO, propone continuar con las presiones económicas y políticas. Las mismas que sufrieron los iraquíes desde 1991 hasta 2003, bajo un genocido bloqueo que mató a cerca de dos millones de personas, debilitó el país de tal manera que una población moribunda no pudiese evitar una agresión militar de tal calibre. De hecho, los iraníes ya están sufriendo los efectos del incipiente bloqueo económico, relejado en el paro del ceca del 20% de la población activa, el cierre de cientos de fábricas, etc.

5.Dice que Irán paralizó su plan mortífero en 2003, la era de Mohammad Jatami , por lo que en cualquier momento, pueden localizar en un zulo en el seno de alguna montaña de Irán el escondite nuclear hecho por Ahmadineyad. De paso, con ello han provocado un importante conflicto verbal entre los partidarios del anterior y el actual presidente que se refleja en la prensa iraní. A demás, si es cierto que el informe es producto de trabajo de sus agentes en Irán y de la escuchas telefónicas, demuestra que la Administración iraní esta infestada por los infiltrados secretos norteamericanos. ¿Será por ello que la prensa persa rumorea sobre la dimisión de Mohammad Zolghadr, director adjunto de los servicios de seguridad del país y viceministro de Interior? Hay mucho nerviosismo. El día 6 de diciembre, dos japoneses fueron detenidos, acusados de espionaje.

6. Al decir que Irán paralizó su plan de armas nucleares en 2003, insinúa que Teherán estaba en proceso de su elaboración y lo cesó por presiones internacionales. O sea, que si por un lado, puede reanudarlo en cualquier momento, por otro –y eso es lo peor- debe de demostrar aquellos planes ocultos a la humanidad. El mismo encierro al que sometieron a Saddam: en vez de que EEUU y sus aliados demostraran la existencia de aquellas armas mortíferas, él debía presentar pruebas de su inexistencia, algo prácticamente imposible.

7. La prensa rusa el 12 de septiembre reveló uno de tantos planes israili-estadounidense para agredir Irán para los próximos 8-10 meses. Sus fuentes, James Jeffrey, el consejero adjunto de seguridad del presidente estadounidense.


8. El ataque a Irán obviamente no iba contra el supuesto plan nuclear de Irán. Sino que este país se ha convertido en la única grán barrera para Israel y EEUU en dominar el espacio y las inmensas reservas energéticas de la región. Si para Israel , la desaparición del poderío de Teherán es la manera de acceder al petróleo, agua y territorios de Oriente Medio, para Washington, supone privar a Rusia y China de incalculables barriles de petróleo y gas que yacen en el subsuelo de la maceta iraní.


Entonces ¿qué ha cambiado?

La capacidad de la Bush- Cheiney en convencer a la opinión publica; tarea nada difícil. Aun les quedan los siguientes argumentos:

1. Descubrir, en otro informe, indicios de la fabricación de armas nucleares. El propio presidente de Irán, Ahmadineyad, consciente o inconscientemente les ofrece excusas en bandeja. Un día después de la publicación del informe, lo consideró un triunfo para Irán y de su programa nuclear, y de paso anunció que necesitaba unas 50.000 centrifugadoras para enriquecer el uranio, y que las iba a conseguir.

2.- La participación de los agentes iraníes en el asesinatos de los soldados norteamericanos en Irak. Incluir a los Guardianes Islámicos –o sea, el ejercito del país- en la lista de organizaciones terroristas, un hecho sin precedente, es una clara declaración de guerra, sin más.


3.- Apuntar a Irán como el principal responsable de la guerra civil de Palestina y del Líbano y el país que impide la pacificación de Oriente Medio.

4. y por ultimo, su implicación en algún que otro terrible atentado.

El ultimo de los intentos de Bush para aislar Irán fue la celebración del encuentro Annápolis, en el que más allá de las absurdas promesas a los árabes, consiguió que Siria, la única aliada de Irán, se desmarcara de él. Los sirios, a estas alturas de la batalla, prefieren estar al lado del bando ganador aunque sea solo a cambio de su supervivencia. El encuentro fue la manifestación de la extraña alianza de los países árabes con Israel y EEUU contra Irán .

¿Por qué Bush busca guerra con Irán?

Además del callejón sin salida de la crisis de Irak, de un Afganistán ya convertido a otra pesadilla de impresionantes dimensiones, al equipo Bush- Cheiney no les parece preocupar que Pakistán, con sus 165 millones de habitantes, dotado de armas nuclear y cientos de miles de Taliban armados ya se les ha ido de la mano. ¿Qué ganaría EEUU con otra oscura batalla, contra Irán?

Además de mantener una economía de guerra en su país y controlar el oro negro iraní, dos pueden ser sus principales objetivos (que no necesariamente coincide con los intereses de EEUU como tal):


1. Será una agresión por encargo, de Israel, obviamente.

2. Una formula desesperada para que los republicanos volviesen a ganar las elecciones. Pues los electores estadounidenses suelen votar a los candidatos de este partido ante una situación de guerra. De allí la preocupación de los demócratas.


Reacciones

Pekín y Moscú siguen con su doble juego. A la vez que se oponen a una agresión bélica, insisten en las negociaciones, sabiendo que Irán no puede ni enriquecer el uranio, y por lo tanto, mucho menos fabricar el hongo. Cada dos por tres expresan su preocupación por las intenciones de Irán y han votado a la sanciones contra Teherán en el Consejo de Seguridad. Justamente en el marco de estos castigos, los bancos chinos –con muchas acciones europeos y estadounidenses-, ya ha paralizado sus operaciones económicas a base de créditos con Irán.

Bush en su locura bélica cuenta con el apoyo de Gran Bretaña, Francia y Alemania. "El informe no cambia nada", dijo el jefe de la diplomacia europea, Javier Solana, en la misma sintonía de que Irán 'fue, es y será' peligroso” de Bush,

Ehud olmert, primer ministro israelí –país con cientos de cabezas nucleares y que no permite inspecciones de la ONU de sus centrales nucleares-, aseguró que "ya sabíamos de ese informe estadounidense”, mientras la prensa israelí restó importancia del informe y recordó los fallaos y errores de la CIA en otros casos, recordando que estas mismas agencias en 2005 habían informado de la existencia de las peligrosas intenciones de Teherán.

Demasiada niebla, muchos actores e inmensas fortunas en juego.

Convienen estar muy despierto.

http://www.rebelion.org/noticia.php?id=60221

martes, 20 de noviembre de 2007

Con Ahamadineyad en Teherán, Chávez pronostica que se "derrumba el imperio del dólar"



El petróleo en US$95 por barril /

Martes 20 de Noviembre,
IAR Noticias/

El presidente de Venezuela, Hugo Chávez, dijo el lunes, en una conferencia de prensa con Ahmadineyad en Teherán, que "el imperio del dólar está derrumbándose", al día siguiente en que su país y su aliado antiestadounidense Irán impulsaran medidas sobre el debilitamiento del dólar durante una cumbre de la OPEP en Riad.

"Pronto dejaremos de hablar de dólares porque el valor del dólar está cayendo y el imperio del dólar está derrumbándose", dijo a periodistas en Teherán, en comentarios en español, junto a su homólogo iraní, Mahmud Ahmadineyad.
"Naturalmente, con el derrumbe del dólar, se derrumbará el imperio de Estados Unidos", agregó el presidente venezolano.

Los dos mandatarios expresaron esta postura durante una reunión que mantuvieron en Teherán, en la que abordaron el resultado de la cumbre de la OPEP, concluida el domingo en Riad, y firmaron varios acuerdos de cooperación económica, industrial y bancaria.
"Afortunadamente somos testigos de la caída del sistema de la arrogancia (EEUU) y las continuas victorias de los pueblos", señaló Ahmadineyad, en una conferencia de prensa conjunta, en la que Chávez reiteró su apoyo al programa nuclear iraní "pacífico" y elogió la alianza de su país con Irán.

Chávez afirmó que las relaciones de cooperación de Irán y Venezuela tienen especial importancia para Caracas "desde los puntos de vista morales, políticos, económicos, sociales y geopolíticos", y ha cifrado en 4.600 millones de dólares el volumen de las inversiones conjuntas.
Chávez y Ahmadineyad acordaron establecer un banco conjunto, además de firmar acuerdos para impulsar la cooperación en los sectores petrolero, petroquímico e industrial, según publicaron medios iraníes sin dar detalles de los acuerdos.
Ahmadineyad calificó el domingo al dólar de "trozo de papel inútil".
El presidente venezolano llegó a Irán procedente de Arabia Saudí, donde participó junto con Ahmadineyad en la conferencia que los jefes de Estado de la OPEP celebraron en Riad el pasado fin de semana.

En la cumbre, concluida el domingo en la capital saudí, Chávez manifestó una vez más su apoyo a la República Islámica, y advirtió de que el valor del petróleo puede dispararse hasta los 200 dólares el barril si EEUU invade Irán a raíz de su programa nuclear.
Por su parte, Ahmadineyad descartó que su país use el petróleo como arma en caso de un conflicto bélico con EEUU por las polémicas actividades atómicas iraníes, aunque amenazó con una "respuesta dura" en caso de un ataque estadounidense.
Antes y después de la cumbre, Irán y Venezuela dejaron en claro que presionarían para que se tomen medidas, que podrían incluir la fijación del precio del petróleo en base a una canasta de monedas.

La caída del valor del dólar en los mercados mundiales ha impulsado la subida del precio del petróleo a un récord de US$98,62 por barril, alcanzando el 7 de noviembre.
El lunes volvía a subir el precio del crudo hasta casi los US$95 por barril mientras que la moneda estadounidense seguía debilitándose frente al euro y otras divisas.
No obstante, el comunicado final de la cumbre del 17 y el 18 de noviembre del cártel petrolero en Riad, Arabia Saudí, no incluyó ninguna referencia a la caída del dólar, en una aparente victoria para los estados aliados de Washington y liderados por Arabia Saudí.

Chávez puso pie en tierra iraní acompañado de una importante delegación, entre cuyos miembros figuraban los ministros de Asuntos Exteriores, de Industria y de Petróleo.
Se desconoce, sin embargo, si Chávez ha pedido, en sus conversaciones con Ahmadineyad, la ayuda de Teherán en el programa de energía nuclear "pacífico" que su país planea desarrollar. Tras su presencia en Irán, el presidente venezolano tiene previsto continuar viaje a Francia y, posiblemente, a Portugal.

sábado, 17 de noviembre de 2007

Las "operaciones secretas" del gobierno Bush dirigidas contra Irán, Líbano y Siria

"Terroristas islámicos" apoyados por el Tío Sam

by Michel Chossudovsky

Global Research, July 25, 2007

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Traducido por Beatriz Morales Bastos

El gobierno Bush ha admitido que se han aplicado contra Siria e Irán acciones encubiertas de naturaleza agresiva. El objetivo indicado era destrozar las economías y los sistemas monetarios de estos países. El infame Grupo de Política y Operaciones Irán-Siria [Iran-Syria Policy and Operations Group, ISOG, en sus siglas en inglés] creado a principios de 2006 y formado por altos cargos de la Casa Blanca, del Departamento de Estado, de la CIA y del Departamento del Tesoro, tenían el cometido de desestabilizar Siria y provocar un "cambio de régimen" :

"El comité, el Grupo de Política y Operaciones Irán-Siria [ISOG], se estuvo reuniendo semanalmente durante la mayor parte de 2006 para coordinar acciones como la restricción del acceso de Irán a créditos e instituciones bancarias, la organización de la venta de equipamiento militar a países vecinos de Irán y el apoyo a fuerzas que se oponen a ambos regímenes" (Boston Globe, 25 de mayo de 2007).

El ISOG proporcionó también asistencia encubierta a grupos de oposición y disidentes iraníes. La estrategia de propaganda del grupo consistió en introducir la desinformación en las cadenas de noticias y "crear la indignación internacional contra Irán" (Boston Globe, 2 de enero de 2007).

¿Cambio en la política respecto a Irán-Siria?

Recientemente Washington anunció un aparente cambio: no más traicioneras acciones encubiertas contra "enemigos canallas" en Oriente próximo. El ISOG se ha disuelto siguiendo órdenes del presidente Bush. Según altos cargos del Departamento de Estado, Estados Unidos ya no desea estar implicado en "acciones agresivas [encubiertas] contra Irán y Siria".

"El grupo se había convertido en el foco de los detractores del gobierno que temían que estas acciones encubiertas pudieran aumentar hasta llegar a un conflicto militar con Irán o Siria. Contribuyeron a esas sospechas el aire de misterio que rodeó al grupo cuando se creó en marzo de 2006 unido al hecho de que se creó siguiendo el modelo de un comité similar respecto a Iraq".

"Un importante alto cargo del Departamento de Estado,... afirmó que el grupo [ISOG] se disolvió debido a la extendida idea por parte de la opinión pública de que el grupo había sido diseñado para llevar a cabo un cambio de régimen. Altos cargos del Departamento de Estado afirmaron que el objetivo del grupo Irán-Siria era persuadir ambos regímenes de cambiar su comportamiento, no derrocarlos" (Ibid).

¿Creerlo o no?

Analistas de política exterior han descrito la decisión de Washington como una prueba de un bien recibido "relajamiento" de la estrategia estadounidense en Oriente Próximo. Se dice que el gobierno Bush ha descartado el "cambio de régimen" en favor de un enfoque más flexible que consiste en un diálogo constructivo con Teherán y Damasco. Se nos dice que las acciones agresivas encubiertas se han cambiado por la diplomacia internacional de buena fe:

[La disolución del ISOG] llega en un momento en que el gobierno Bush se ha embarcado en un importante esfuerzo por mantener conversaciones de alto nivel con Irán y Siria.

...

Poco después de que se disolviera el grupo Irán-Siria la secretaria de Estado, Condoleezza Rice, emprendió una importante iniciativa para implicar a Irán y Siria en un esfuerzo regional por estabilizar Iraq, cambiando radicalmente la política que había mantenido Estados Unidos durante hacía mucho tiempo contraria a contactos de alto nivel con estos países.

El gobierno Bush rehuyó durante años mantener conversaciones con Siria. ...Pero Rice se reunió este mes en Egipto con el ministro sirio de Asuntos Exteriores, el primer encuentro a alto nivel entre ambos países desde 2004, y está previsto que el embajador estadounidense en Iraq, Ryan Crocker, se reúna el lunes con su homólogo en Bagdad.

Kenneth Katzman, un especialista en Oriente Próximo del Servicio de Investigación del Congreso, la sección de investigación del Congreso estadounidense, afirmó que no creía que fuera una coincidencia la disolución del grupo Irán-Siria en el mismo momento en que el departamento de Estado empezaba su labor diplomática.

"Creo que la lógica de ese grupo era promover un cambio de régimen y Rice está yendo en una dirección muy diferente a ésa", afirmó Katzman. "La escuela del cambio de régimen dentro del gobierno se vuelto bastante más débil " (Ibid).

La decisión de desmantelar el ISOG es en buena parte superficial. Permanecen intactas la mayoría de esas operaciones de inteligencia. El ISOG era una de las diferentes iniciativas para desestabilizar Irán y Siria. El cambio de régimen y la guerra abierta siguen estando en la agenda del gobierno [estadounidense]. De hecho, durante los últimos cuatro años se han ido intensificando las operaciones de inteligencia encubiertas y desestabilizadoras contra Irán y Siria. Por otra parte, estas operaciones están estrechamente coordinadas con los planes de guerra israelíes y de la OTAN, que constituyen un aparte integral de las operaciones militares respaldadas por Estados Unidos contra Irán, Siria y Líbano.

Las operaciones encubiertas se han sincronizado con la hoja de ruta militar, incluyendo los diferentes escenarios estadounidenses de guerra previstos desde que en mayo de 2003, apenas un mes después de la invasión de Iraq, se lanzara el "Escenario Iraní a Corto Plano" ["Theater Iran Near Term", TIRANNT, en sus siglas en inglés]. Estos escenarios similares a una guerra prevén explícitamente el cambio de régimen:

... Según TIRANNT, los planificadores del ejército y del mando central estadounidenses han estado examinando tanto escenarios a corto plazo como para el año siguiente para la guerra contra Irán, incluyendo todos los aspectos de una importante operación de combate, desde la movilización y despliegue de fuerzas, hasta las operaciones de estabilidad de posguerra tras el cambio de régimen" (William Arkin, Washington Post, 16 de abril de 2006)

Estados Unidos está en pie de guerra y las diferentes operaciones encubiertas y de manipulación (que rutinariamente introducen despreciables imágenes del jefe de Estado Iraní en las cadenas de informativos) son parte integral del arsenal militar-de inteligencia y de propaganda.

A su vez, las operaciones encubiertas están coordinadas con despliegues estadounidenses, israelíes y de la OTAN en el Mediterráneo oriental y en el Golfo Pérsico, incluyendo la realización de importantes ejercicios de guerra llevados a cabo casi continuamente desde el verano de 2006.

"Operaciones encubiertas" de la CIA contra Irán

Según agentes y ex-agentes de la inteligencia, coincidiendo con el cierre del ISOG, "la CIA recibió la autorización secreta del presidente [Bush] para organizar operaciones encubiertas con el fin de desestabilizar al gobierno iraní" (ABC News Report 22 May 2007). Esta iniciativa paralela apoyada por la CIA, que "recibió la aprobación de altos cargos de la Casa Blanca y de otros de los servicios de inteligencia ", tiene en líneas generales el mismo mandato que el desaparecido ISOG:

"La fuentes (que dada la sensible naturaleza del tema hablan bajo la condición de anonimato) afirman que el presidente Bush ha firmado un "hallazgo presidencial no letal" que pone en marcha un plan de la CIA el cual, según se informa, incluye una campaña coordinada de propaganda, de desinformación y de manipulación de la moneda iraní y de sus actuales transacciones financieras internacionales".

"No puedo confirmar o desmentir si existe este programa o si lo ha firmado el presidente, pero concordaría con el enfoque global estadounidense que trata de encontrar medios para presionar al régimen [iraní]", afirmó Bruce Riedel, un alto cargo de la CIA recientemente retirado que trabajó con Irán y otros países de la zona".

"Un portavoz del Consejo de Seguridad Nacional, Gordon Johndroe, afirmó: "La Casa Blanca no hace comentarios sobre cuestiones de seguridad". Un portavoz de a CIA declaró: "Por supuesto, no hacemos comentarios sobre acusaciones de actividades encubiertas" (ABC News Report 22 May 2007).

Al parecer, el plan de la CIA "fue diseñado para presionar a Irán para que detuviera su programa de enriquecimiento nuclear y dejara de ayudar a la resistencia en Iraq". Según altos cargos estadounidenses, la operación encubierta era una alternativa más blanda a la de un ataque militar a Irán, una opción apoyada por el vice-presidente Dick Cheney y otros halcones del gobierno:

"Agentes y ex-agentes de la inteligencia afirman que la aprobación de la acción encubierta significa que por el momento el gobierno Bush ha decidido no seguir adelante con la opción militar contra Irán".

"El vice-presidente Cheney ayudó a encabezar el bando a favor del ataque militar", afirmó el ex-agente de la CIA Riedel, "pero creo que han llegado a la conclusión de que el ataque militar tiene más inconvenientes que ventajas" (Ibid).

La operaciones encubiertas de la inteligencia contra Irán y Siria no son una alternativa a la acción militar, al contrario. El plan de la CIA fue diseñado para apoyar la estrategia de Washington de desestabilizar Irán y Siria a través tanto de acciones militares como de medios no militares que incluyen operaciones de inteligencia encubiertas.

Soltar a las Brigadas Islámicas dentro de Irán

En relación a Irán la inteligencia estadounidense ha estado apoyando un grupo terrorista basado en Pakistán, Jundullah (Soldados de Dios) que ha llevado a cabo ataques terroristas dentro de Irán. El grupo opera "desde bases en la escarpada 'zona tri-fronteriza' entre Irán-Pakistán-Afganistán". Según un reportaje de ABC News:

"Según declararon a ABC News fuentes de la inteligencia estadounidense y paquistaní, desde 2005 agentes estadounidenses ha estado fomentando y adiestrando secretamente a un grupo tribal militante paquistaní responsable de una serie de mortíferos ataques de guerrilla dentro de Irán".

"El grupo, llamado Jundullah, está formado por miembros de la tribu Baluchi y opera fuera de la provincia de Baluchistán en Pakistán, justo al otro lado de la frontera con Irán".

"Han sido acusados de la muerte y secuestro de más de una docena de soldados y oficiales iraníes" (ABC News, 2 de abril de 2007).

Abd el Malik Regi, jefe de Jundullah, dirige una fuerza de varios centenares de guerrilleros "que organizan ataques a través de la frontera iraní contra oficiales del ejército iraní, agentes de la inteligencia iraní, los secuestra, los ejecuta ante las cámaras... Recientemente, Jundullah fue el autor de una ataque en febrero que mató al menos a once miembros de la Guardia Revolucionaria Iraní en un ataque contra un autobús en la ciudad iraní de Zahedan." (Ibid)

Fuentes del gobierno estadounidense han reconocido que el jefe de Jundullah "tiene contacto regular con agentes estadounidense", pero niegan toda "financiación directa" de Jundullah por parte de la inteligencia estadounidense.

Inherente a las operaciones encubiertas de la CIA, la Agencia nunca admite financiarlas "directamente". Procede invariablemente a través de organizaciones delegadas, incluyendo los Inter-Servicios de Inteligencia de Pakistán (ISI, en sus siglas en inglés), que históricamente, desde la guerra soviético-afgana, ha suministrado apoyo a grupos terroristas islámicos, incluyendo la financiación de campos de adiestramiento y de las madrasas, y han actuado siempre en favor de la CIA. De hecho la inteligencia estadounidense reconoce francamente este insidioso papel del ISI de Pakistán (a favor de la CIA) :

"Fuentes dela inteligencia estadounidense afirman que Jundullah ha recibido dinero y armas a través del ejército afgano y paquistaní, y de los servicios de inteligencia de Pakistán. Éste último ha negado oficialmente toda conexión" ( Brian Ross y Christopher Isham, The Secret War Against Iran, 3 de abril de 2007.

Otros canales utilizados por los servicios de inteligencia estadounidenses para suministrar fondos al terrorismo son a través de Arabia Saudí y de los Estados del Golfo, donde el dinero se canaliza a diferentes grupos militantes islámicos que actúan a favor del Tío Sam. "Algunos ex-agentes de la CIA afirman que el acuerdo [en relación a Jundullah] recuerda a cómo el gobierno estadounidense delegó en ejércitos financiados por otros países incluyendo Arabia Saudí para desestabilizar el gobierno de Nicaragua en los ochenta [lo que recordaba el asunto del Irán-Contra]." (Ibid)

Un modelo constante: orígenes históricos del "terrorismo islámico"

Irónicamente los grupos islámicos son descritos como grupos que trabajan en estrecha relación con Teherán. Irán, un país que es predominantemente chií, es acusado de acoger a grupos terroristas sunníes islámicos, cuando, de hecho, estos terroristas islámicos son "bazas de la inteligencia" de Estados Unidos, apoyados directamente por Washington.

Este papel que ejerce la inteligencia estadounidense en apoyo de los "terroristas islámicos" está bien delimitado. Las operaciones encubiertas aplicadas a Irán forman parte de un modelo constante.

La no tan oculta agenda de la inteligencia estadounidense, aplicada en toda Asia central y Oriente Próximo, consiste en desencadenar la inestabilidad política y en fomentar los conflictos étnicos apoyando a "organizaciones terroristas islámicas", con el objetivo a la larga de debilitar el Estado nación y de desestabilizar a países soberanos.

Desde que estalló la guerra afgano-soviética y durante todos los años noventa un rasgo fundamental de las actividades de la CIA consistió en suministrar apoyo encubierto a "organizaciones terroristas islámicas ":

En 1979 se lanzó "la mayor operación encubierta de la historia de la CIA" en respuesta a la invasión soviética de Afganistán para apoyar el gobierno pro-comunista de Babrak Kamal.(Véase Fred Halliday, "The Un-great game: the Country that lost the Cold War, Afghanistan, New Republic, 25 de marzo de 1996): Ahmed Rashid, The Taliban: Exporting Extremism, Foreign Affairs, noviembre-diciembre de 1999. Véase también Michel Chossudovsky, America's "War on Terrorism", Global Research, 2005, Ch. 2. )

Con el apoyo activo de la CIA y del ISI de Pakistán , "unos 35.000 musulmanes radicales de cuarenta países islámicos se unieron a la lucha de Afganistán entre 1982 y 1992. Decenas de miles más llegaron para estudiar en las madrasas paquistaníes. Finalmente, más de 100.000 musulmanes radicales extranjeros fueron influenciados directamente por la jihad afgana" (Chossudovsky, op cit).

Estas operaciones encubiertas en apoyo de las "brigadas islámicas" continuaron durante el periodo posterior a la guerra fría. La amplia red de inteligencia militar del ISI no se desmanteló tras la guerra afgano-soviética. La CIA continuó apoyando la "jihad" islámica fuera de Pakistán. En Asia central, Oriente Próximo y los Balcanes se pusieron en marcha nuevas iniciativas encubiertas. El aparato militar y de inteligencia de Pakistán "sirvió esencialmente como catalizador para la desintegración de la Unión Soviética y la emergencia de seis nuevas repúblicas musulmanas en Asia central" (Ibid). "Mientras, misioneros islámicos de la secta Wahhabi de Arabia Saudí se establecieron tanto en las repúblicas musulmanas de la antigua Unión Soviética como dentro de la Federación Rusa y ocuparon las instituciones del Estado laico" (Ibid).

En los Balcanes emergió un modelo similar. Desde principios de los noventa, el gobierno Clinton apoyo el reclutamiento de muyaidines de al-Qaeda para luchar en Bosnia junto al Ejército Bosnio Musulmán. Irónicamente fue el Partido Republicano, en un documento publicado por el Comité del Partido Republicano del Senado estadounidense, quien acusó a Clinton no sólo de "participación ''práctica' en el proyecto armamentista de la red islámica", sino también de colaborar con la Agencia de Auxilio al Tercer Mundo (TWRA, en sus siglas en inglés), "una falsa organización humanitaria basada en Sudán que se cree está relacionada con elementos integrantes de la red del terrorismo islámico como Sheik Omar Abdel Rahman (la persona declarada culpable de ser el cerebro detrás del atentado en 1993 contra el World Trade Center) y Osama Bin Laden,... ". (Se puede consultar el documento original en la página web del Comité del Partido Republicano del Senado estadounidense (Senator Larry Craig) en http://www.senate.gov/~rpc/releases/1997/iran.htm )

Desde que tras los atentados del 11 de septiembre se emprendió la Guerra Global contra el Terrorismo (GWOT, en sus siglas en inglés), muchos de los documentos oficiales que apuntan a la insidiosa relación entre la inteligencia estadounidense y "la red de terrorismo islámico" han sido cuidadosamente retirados de la vista del público.

"Terroristas Islámicos" apoyados por Estados Unidos dentro de Líbano

Los recientes asesinatos de civiles en campos de refugiados palestinos en el norte de Líbano han sido producto de los enfrentamientos entre Fatah al-Islam y el ejército libanés. Fatah al-Islam es un grupo fundamentalista formado predominantemente por sunníes no palestinos y que opera dentro de los campos de refugiados. Fatah al-Islam también está inspirado en las sectas Wahabi de Arabia Saudí, que participaron en las operaciones encubiertas de la CIA desde que estalló la guerra afgano-soviética.

El ejército libanés se han visto involucrado en ataques a los campos [de refugiados palestinos] lo que ha llevado al levantamiento de los refugiados palestinos. Según informes de la prensa, el número de militantes de Fatah al-Islam (integrado por combatientes saudíes, sirios y marroquíes) dentro del campo era de unos 150-200. La ofensiva militar libanesa ha sido desproporcionada, lo que ha tenido como resultado incontables víctimas civiles.

"Sin embargo, el ampliamente desproporcionado ataque al campo de refugiados fue respaldado incondicionalmente por la secretaria de Estado estadounidense, Condoleezza Rice. "El gobierno Siniora está luchando contra un muy fuerte enemigo extremista", declaró Rice. "Pero Líbano está haciendo lo adecuado para tratar de proteger a su población, para hacer valer su soberanía y, por consiguiente, apoyamos firmemente al gobierno Siniora y lo que está tratando de hacer ".

"Líbano ha utilizado la acción policial contra este grupo muy pequeño para pedir a Estados Unidos 280 millones de dólares en ayuda militar para ayudar a aplastar lo que grandilocuentemente ha denominado un "levantamiento". El portavoz del departamento de Estado, Sean McCormack, afirmó que Washington estaba considerando la asignación de fondos, 220 millones de dólares que irían al ejercito libanés y otros 60 a las fuerzas de seguridad. El pasado año Estados Unidos dio 40 millones en ayuda militar a Líbano y otros 5 millones en lo que llevamos de año". (Chris Marsden, 27 May 2007)

En una lógica completamente distorsionada, los medios de comunicación han presentado a Fatah al-Islam como una organización vinculada al movimiento Fatah en Palestina, una organización laica fundada por Yaser Arafat. Desde el punto de vista ideológico Fatah al-Islam es similar a al-Qaeda, que se sabe está financiada por Arabia Saudí y los Estados del Golfo, y apoyada por el ISI de Pakistán en coordinación con su contraparte estadounidense.

Según Seymour Hersh, Arabia Saudí está suministrando tanto fondos como apoyo encubierto a Fatah al-Islam, en estrechas consultas con el gobierno Bush.

Hersh señala un "acuerdo privado" ente agentes neocons de alto nivel y el príncipe Bandar Bin Sultan de Arabia Saudí, que trabajó estrechamente con el director de la CIA, George Tenet, cuando era embajador de Arabia Saudí en Washington. El gobierno libanés también está involucrado en esta operación de inteligencia:

"Los saudíes son los actores clave. Sobre lo que yo [Hersh] escribía era sobre una especie de acuerdo privado que se estableció entre la Casa Blanca; hablamos de Richard (Dick) Cheney y Elliott Abrams, una de las ayudas clave en la Casa Blanca, y de Bandar [el príncipe Bandar Bin Sultan, el consejero de seguridad nacional saudí]. Y la idea era conseguir ayuda, ayuda encubierta, de los saudíes, para apoyar a los diferentes jihadistas de la línea dura, grupos sunníes, especialmente en Líbano, que podrían aparecer en el caso de que se considerara ventajoso una confrontación real con Hezbollah -el grupo chií en el sur de Líbano -...tan simple como eso... Ahora estamos ocupados en apoyar donde quiera que podemos a los sunníes contra los chiíes, contra los chiíes en Irán, contra los chiíes en Líbano, esto es, Nasrullah. Guerra civil. Estamos ocupados en crear violencia sectaria en algunos lugares, en particular en Líbano" (CNN Interview with Seymour Hersh, CNN International's Your World Today, 21 May 2007)

El modelo de la ayuda saudí a Fatah al-Islam forma parte de operaciones encubiertas apoyadas por Estados Unidos similares a las llevadas a cabo por la CIA en los ochenta en apoyo a al-Qaeda.

Bien, Estados Unidos está profundamente implicado. Esto fue una operación encubierta que Bandar dirigió con nosotros. Si lo recuerdan, no olviden que entramos en la guerra en Afganistán apoyando al muyaidin Osama ben Laden, a finales de los ochenta, con Bandar y con gente como Elliott Abrams; la idea era que los saudíes nos prometieron que ellos podían controlar a los jihadistas, así que gastamos una gran cantidad de dinero y de tiempo ... a finales de los ochenta, usando y apoyando a los jihadistas... Y tenemos el mismo modelo ... usar otra vez a los saudíes para apoyar a los jihadistas [Fatah al-Islam]; los saudíes nos aseguran que pueden controlar a esos diferentes grupos, grupos como el que ahora está mismo en contacto en Trípoli con el gobierno (Entrevista de CNN a Seymour Hersh). (CNN Interview with Seymour Hersh, CNN International's Your World Today, 21 May 2007)

¿Acontecimiento orquestado en Líbano? Construir una justificación humanitaria para una intervención militar

Fatah al-Islam es una "baza de la inteligencia" financiada por Arabia Saudí. Aunque el gobierno Bush acusa a Damasco de apoyar a Fatah al-Islam, hay indicios de que las muertes en los campos de refugiados palestinos fueron la consecuencia de una operación de inteligencia militar cuidadosamente orquestada.

Desde verano de 2006, tras el bombardeo israelí de Líbano, el ejército de la OTAN está presente tanto dentro de Líbano como en la costa sirio-libanesa. El primer paso de este proceso, que siguió a la retirada en 2005 del ejército sirio de Líbano, fue la resolución de Naciones Unidas que permitía el despliegue de las fuerzas de paz de la OTAN.

El objetivo de la hoja de ruta militar es crear violencia sectaria dentro de Líbano, lo que proporcionará el pretexto para una creciente intervención militar por "motivos humanitarios" del ejército de la OTAN bajo un mandato formal de Naciones Unidas. Esta intervención militar humanitaria de la OTAN en relación con Israel se concibe como una secuela de la retirada del ejército sirio en 2005 y de los bombardeos israelíes de 2006. Si se emprendiera, podría llevar a una situación de ocupación extranjera de facto de Líbano, así como a un reforzamiento del bloqueo económico contra Siria.

El pretexto de estas crecientes acciones militares es el supuesto apoyo de Siria a Fatah al-Islam y la supuesta implicación de Damasco en el asesinato de Rafiq Hariri. La oportuna "investigación" del asesinato de Hariri y el establecimiento de un deslegitimado tribunal están siendo utilizados por la coalición para fomentar el sentimiento antisirio en Líbano. Desde un punto de vista militar y estratégico, Líbano es la puerta de entrada a Siria. La desestabilización de Líbano apoya la agenda militar estadounidense-de la OTAN-israelí contra Siria e Irán. La inteligencia estadounidense suelta a sus brigadas islámicas mientras que acusa al enemigo de apoyar estos grupos terroristas que, de hecho, son financiados y apoyados de manera encuberta por el Tío Sam.


Enlace con el original en inglés: http://www.globalresearch.ca/index.php?context=viewArticle&code=CHO20070531&articleId=5837

Beatriz Morales Bastos es miembro de Cubadebate, IraqSolidaridad y Rebelión.

Global Research Articles by Michel Chossudovsky


FUENTE: Global Research

viernes, 16 de noviembre de 2007

Caso AMIA: Fiscalía General del Estado de Irán emite orden de busca y captura contra cinco ciudadanos argentinos



Teherán, Irán. IRNA. 13 de noviembre de 2007
Yadollah Alizadeh, subsecretario de la Fiscalía General del Estado de Irán y juez del Tribunal Supremo, ha anunciado hoy martes que la república islámica ha dictaminado orden de busca y captura contra cinco ciudadanos argentinos, en relación con el caso AMIA, la mutual judía que fue objeto de atentado en Buenos Aires en 1994 y en la que murieron 85 personas.


Alizadeh, que ha hecho este anuncio en una cita con la prensa, ha explicado: “Estos cinco ciudadanos están acusados de atentar contra la seguridad exterior de Irán, incriminar infundadamente, sobornar a opositores de la república islámica fuera del país, tomar falso testimonio y lanzar una campaña de propaganda mediática contra el estado iraní.”

Carlos Corach, ex ministro de Interior, Ruben Beraja, presidente de de la AMIA, Juan José Galeano, ex juez que llevaba el caso, Eamon Mullen y José Barbaccia, estos dos últimos, dos fiscales encargados del caso, son los nombres que figuran en esta orden.


Alizadeh añadió que en el caso de que los acusados no se presenten en los tribunales para presentar sus alegatos, se expedirá entonces una orden de busca y captura internacional que sería cursada por la INTERPOL.

miércoles, 14 de noviembre de 2007

Nasralá desafía a la ONU y a Israel afirmando que "nadie desarmará a Hezbolá"



Aumenta la presión en el sur de Líbano
Miércoles 14 de Noviembre,
IAR
Generando un nuevo aumento de la tensión en la frontera de Líbano con Israel, y en abierto desafío a las fuerzas de la ONU que controlan la región, el líder de Hezbolá, Hassan Nasralá, reiteró en un discurso televisivo que nadie podrá desarmar a la organización guerrillera que obligó a Israel a retirarse del Líbano luego de haber bombardeado al país durante 34 días consecutivos en julio y agosto del año pasado.

"Ninguna fuerza en el mundo podrá desarmar a Hezbolá", recordó, y justificó la posesión de las armas porque "el gobierno de Fuad Siniora (aliado de Washington) ha perpetuado la debilidad del ejército libanés, incapaz de defender la soberanía nacional."

Luego del cese el fuego, con un repliegue unilateral de las fuerzas terrestres israelíes invasoras, en agosto de 2006, dos resoluciones del Consejo de Seguridad de la ONU establecieron la orden de desarme de Hezbolá, pero hasta ahora ni el ejército libanés ni la fuerza de la ONU en el sur del Líbano (FINUL) pudieron llevarlo a cabo, limitándose a exigirle a la organización guerrillera que las armas no sean exhibidas en público.

Nasralá admitió que el desarme podría eventualmente discutirse "en el marco de un gran proyecto nacional sobre la defensa del país", es decir, si se enmarca en el refuerzo del ejército nacional.

"El mensaje es que la resistencia continuará afrontando la responsabilidad, ya que el gobierno no la asume para preservar la soberanía, y recuperar los territorios. ¿Qué ha hecho el gobierno para recuperar las granjas de Cheba?", se preguntó el líder de Hezbolá.

Nasralá dijo que que el gobierno de Siniora no ha reaccionado contra las recientes maniobras militares de Israel con 50.000 soldados, "destinadas a preparar una agresión israelí contra el Líbano", pero sí han criticado las maniobras de autodefensa de Hezbolá.

A principios de noviembre, los combatientes de Hezbolá realizaron maniobras militares a lo largo de la frontera con Israel, después de que el estado judío realizara ejercicios militares al norte de su territorio, según informó la propia organización de resistencia libanesa.

Nasralá señaló que los recientes ejercicios militares realizados por Hezbolá han supuesto "un mensaje serio y verdadero al enemigo sionista (Israel) y al mundo".

El primer ministro de Líbano, Fuad Siniora, y fuentes de la Fuerza Interina de las Naciones Unidas en Líbano (Finul) negaron que Hezbolá haya realizado maniobras militares en territorio libanés controlado por la ONU.

El primer ministro (cuyo gobierno antisirio y pro-Washington se encuentra desgastado y acosado por la oposición) aseguró que las informaciones que aparecieron en diarios libaneses cercanos a Hezbolá sobre supuestas maniobras de este grupo se referían únicamente a "planes sobre el papel".

Según los periódicos As Safir, cercano a Siria, y Al Ajbar, considerado el principal aliado impreso de Hezbolá, este grupo ha realizado las mayores maniobras bajo la supervisión del jefe del movimiento, Hassan Nasralá.

Por otra parte, este lunes aviones israelíes sobrevolaron a media altura varias provincias de Líbano, en violación de la última resolución 1.701 del Consejo de Seguridad de la ONU, denunció la Agencia de Noticias Nacional libanesa.

Según la agencia, aviones de guerra israelíes sobrevolaron Nabatieh, Marjayún y Jiam, en el sur del país, y hasta Baalbek, en el centro Este, todas estas provincias de mayoría chií y con influencia de Hezbolá.

En julio y agosto de 2006, en el marco de un bombardeo israelí de 34 días consecutivo a poblaciones civiles del Líbano, incluida su capital, Beirut, 1.300 civiles libaneses fueron muertos y 4000 quedaron heridos, mientras la infraestructura y la economía del país quedaban destruidas.

Hezbolá, en una sorpresa para los analistas militares, obligó a la poderosa fuerza de infantería y blindados judíos a retirarse del sur del Líbano donde habían penetrado en una punta de lanza terrestre.

Posteriormente, la organización libanesa evitó que la fuerza militar de la ONU incautara sus arsenales, que, según la inteligencia militar israelí, hoy se han reforzado con misiles capaces de alcanzar Tel Aviv provistos por Irán y Siria.

jueves, 8 de noviembre de 2007

Israel acusa a ElBaradei y la AIEA de hacerle el juego de Irán

Miércoles 07 de Noviembre,
IAR Noticias / AFP

Israel, que milita a favor de nuevas sanciones internacionales contra Irán, incrementó su presión sobre la Agencia Internacional de Energía Atómica (AIEA) y su director, Mohamed ElBaradei, acusándolos de hacer el juego de los iraníes.

Esta ofensiva, calificada de "sin precedentes" por el diario israelí Yediot Aharonot, fue lanzada al acercarse la fecha de publicación de un nuevo informe sobre el programa nuclear iraní, que servirá de base para discusiones en la ONU con miras a un eventual fortalecimiento de las sanciones económicas contra Irán.

Rusia y China, dos miembros permanentes del Consejo de Seguridad de la ONU con derecho de veto, se han opuesto hasta ahora.

"Lamentablemente, hay dirigentes extranjeros que hacen el juego de los iraníes aportando su contribución a la estrategia iraní, que consiste en utilizar tácticas dilatorias. Desde ese punto de vista, la Agencia y su dirección son culpables", declaró a la AFP Mark Regev, el portavoz del ministerio de Relaciones Exteriores.

"Se puede preguntar si la Agencia no aceptó cumplir el papel que los iraníes desean que desempeñe para permitir que Teherán aplique su estrategia", agregó Regev.

"La esperanza del régimen de los ayatolás es que el ritmo de las discusiones diplomáticas que actualmente se llevan a cabo sea lo más lento posible, para que ellos puedan continuar desarrollando su programa nuclear militar a un ritmo acelerado", insistió este vocero.

El lunes, el director general de Relaciones Exteriores, Aharon Abramovitz, también lanzó un duro ataque contra la AIEA durante un discurso que pronunció en Jerusalén durante un foro.

"En lugar de ser un elemento que contribuye a los esfuerzos desplegados por la comunidad internacional, la Agencia actúa para frustrarlos", protestó.

Por su parte, Miri Eisin, la portavoz del primer ministro israelí, recordó a la AFP que éste también había criticado al director de la AIEA.

"Si ElBaradei piensa que una bomba iraní dentro de tres años no le preocupa, a mí sí me inquieta mucho, e incluso considerablemente", afirmó Ehud Olmert el mes pasado durante una visita a Francia.

En una entrevista publicada por el diario francés Le Monde, ElBaradei sostuvo que Irán no constituirá "una amenaza desde mañana".

"Yo no puedo juzgar las intenciones de dotarse de la bomba atómica, (Irán) necesitará entre tres y ocho años para tenerla", añadió ElBaradei, considerando que "todavía queda mucho tiempo para utilizar todos los instrumentos de la democracia, incluyendo las sanciones".

Por su parte, Gerald Steinberg, profesor de Ciencias Políticas de la Universidad Bar Ilan, cerca de Tel Aviv, considera que ElBaradei actúa en forma "irracional".

"Es posible que él quiera evitar a toda costa un ataque contra Irán que asestaría un golpe durísimo a la Agencia que preside o por antiamericanismo", declaró Steinberg a la AFP.

Según este especialista, la campaña lanzada contra la AIEA por Olmert y su ministra de Relaciones Exteriores, Tzipi Livni, quienes recientemente visitaron varios países que son miembros permanentes del Consejo de Seguridad, sobre todo Francia, Gran Bretaña, Rusia y China, podría obligar a ElBaradei a "mostrar un poco más de prudencia en las conclusiones de su próximo informe".

miércoles, 7 de noviembre de 2007

Oil, smoke & mirrors


« Oil, smoke & mirrors (Du pétrole et des écrans de fumées) donne une sérieuse analyse de la perception de notre monde présent et à venir, ... Tout » à la lumière des évènements imminents, non signalés et volontairement oubliés, des contraintes énergétiques mondiales.

Au travers d’une série d’interviews extraordinairement informées et éloquentes, ce film montre que les évènements du 11 septembre et les poursuites de la soi-disant "guerre au terrorisme", peuvent être mieux compris dans le contexte plus large de l’imminence d’une crise pétrolière.

"Oil smoke & mirrors" dépeint la culture de notre politique mondiale qui tragiquement, et pour quelque raison que ce soit, se dissocie complètement de ses valeurs fondatrices. Si les opinions présentées dans ce film peuvent d’emblée paraître peu rassurantes, il est une certitude que les défis évoqués ne peuvent être relevés et surpassés, seulement, et seulement si nous trouvons le courage de leur faire face»

Les intervenants :

Richard Heinberg : Auteur de "The Oil Depletion Protocol" Julian Darley : Fondateur de l’institut "Post Carbon" Michael Meacher : Parlementaire, et ancien ministre britannique de l’environnement Colin Campbel : Géologue et membre de l’Association for the Study of Peak Oil and Gas Chris Sanders : Economiste politique, membre de Sanders Research Associates Paul Roberts : Journaliste, Auteur de "The End of Oil" Nafeez Mossaddeq Ahmed : Analyste politique, auteur de "La guerre contre la vérité" Andreas Von Bülow : Ancien ministre allemand des sciences et technologies Philip J. Berg : Procureur, membre des Scholars for 9/11 Truth Christopher Bollyn : Journaliste de chez American Free Press David Shayler : Ancien membre du MI5, Officier du contre terrorisme Webster Tarpley : Historien, auteur de "La terreur fabriquée, Made in USA"

martes, 6 de noviembre de 2007

Irán acusa a EEUU y a Israel de apoyar al "terrorismo kurdo" del PKK

"Acuerdo secreto"

Sábado 03 de Noviembre,
IAR Noticias /

En plena escalada del conflicto en el Kurdistán iraquí, y con las tropas turcas apostadas en las frontera y esperando una "luz verde" de Washington para atacar, Irán salió a acusar a EEUU y a Israel de haber instrumentado un "acuerdo secreto" con separatistas kurdos para desestabilizar la región con "actividades terroristas" que favorecen a Washington.

El ministro de Exterior iraní, Manuchehr Mottaki, acusó esta semana a EEUU e Israel de apoyar a los separatistas turcos del norte de Irak, y consideró que las actividades "terroristas" en la región se han incrementado desde la llegada de fuerzas extranjeras a la zona, durante una rueda de prensa conjunta con su homólogo turco, Alí Babacan.

"Desde nuestro punto de vista, Israel y EEUU se encuentran detrás de algunas actividades terroristas, y probablemente la falta de voluntad para enfrentarse a este terrorismo proviene de algún acuerdo secreto",señaló el ministro iraní, en relación a los recientes enfrentamientos entre el Ejército turco y los rebeldes del Partido de los Trabajadores del Kurdistán (PKK), emplazados en el norte de Irak.

El canciller turco, Babacan, sin embargo, se distanció de las declaraciones de Mottaki, al rechazar la idea de que Estados Unidos respalde estas actividades. "No quiero pensar que Washington está apoyando un grupo terrorista", declaró el ministro turco de Exteriores, que agradeció, no obstante, la cooperación mostrada por Irán en este conflicto.

El diplomático turco subrayó la necesidad de emplear "todos los mecanismos necesarios" para luchar contra el PKK, contando para ello con "la cooperación y la solidaridad" de la comunidad internacional. Mottaki coincidió con su homólogo en emplear lo que denominó por su parte "las actividades que se requieran para detener estas actividades terroristas".

Irán tiene sus propios problemas con los grupos "terroristas" kurdos, en especial con una escisión del PKK, conocida como el Partido de la Vida Libre del Kurdistán (PEJAK), un grupo que lucha para conseguir la autonomía para los kurdos residentes en la frontera entre Irán e Irak.

Según Teherán, el Pejak, está infiltrado, financiado y entrenado por la CIA para cometer atentados y desestabilizar Irán preparando el terreno para un ataque de EEUU.

Este viernes las operaciones militares del Ejército turco en la frontera común con el Kurdistán iraquí se había reducido a la espera del resultado de la entrevista que el primer ministro, Recep Tayyip Erdogan, mantendrá con el presidente estadounidense, George W. Bush, el próximo lunes en Washington.

El régimen turco confía que de esa reunión saldrá una "luz verde" para el lanzamiento de una operación militar a gran escala contra los enclaves del "terrorismo" kurdo del PKK.

http://www.iarnoticias.com/

ANOTHER KUWAITI DIRTY TRICK


Malcom Lagauche
October 29, 2007

Most people blame Iraq for the August 2, 1990 military actions against Kuwait. George Bush I quickly lambasted Iraq and world public opinion considered Kuwait the aggrieved party in the conflict.

In reality, the Iraqis ran into an ambush that began long before August 2, 1990. During the Iran-Iraq War, Kuwait was already dealing with the U.S. in concocting plans to undermine the Iraqi economy. After the cease-fire, the shenanigans of Kuwait and the U.S. went into high gear.

Shortly after the Iraqis crossed the border with Kuwait, they came across documents showing collusion to harm Iraq’s economy and keep the country servile for years to come. Below is a letter sent on November 22, 1989 from Brigadier Fahd Ahmed Al Fahd to Sheikh Salem Al Sabah, the Kuwaiti Minister of the Interior. Tariq Aziz sent copies of this letter to the United Nations on October 24, 1990. It gained little fanfare because the U.S. had already smeared Iraq’s reputation and no one wanted to contradict the U.S. propaganda. The letter shows that Kuwait was working hard to injure Iraq at the time of the August 2, 1990 invasion.

On July 28, 1990, King Hussein of Jordan spoke with Sheikh Sabah, the Kuwaiti Foreign Minister. King Hussein was perplexed at Kuwait’s attitude and he told the Foreign Minister about his concern that Iraq may take military action. The Sheikh’s response was curious because Iraq had not invaded Kuwait yet and the U.S. proclaimed it had no defense agreement with Kuwait. Sheikh Sabah told King Hussein:

We cannot bargain over an inch of territory. It’s against our constitution. If Saddam comes across the border, let him come. The Americans will get him out.

Sheikh Sabah’s response was the first inclication that U.S./Kuwait relations may have been much more advanced than thought. The following letter proves this assessment.

_____________________________________________

Top Secret and Private

His Excellency Sheikh Salem Al Sabah, Minister of the Interior.

In accordance with Your Highness’s orders, as given during our meeting with you on October 22, 1989, I visited the headquarters of the United States Central Intelligence Agency, together with Colonel Ishaq Abd Al Hadi Shaddad, Director of investigations for the Governorate of Ahmadi, from November 12 to 18, 1989. The United States emphasized that the visit should be top secret in order not to arouse sensibilities among our brothers in the Gulf Cooperation Council, Iran and Iraq.

I hereby inform Your Highness of the most important elements of what was agreed with Judge William Webster, Director of the United States Central Intelligence Agency, in the course of my private meeting with him on Tuesday, November 14, 1989.

1. The United States is undertaking to train individuals selected by us to protect His Highness the Emir and His Highness Sheikh Saad Al Abdullah Al Salem Al Sabah. The instruction and training is to take place at the headquarters of the United States Intelligence Agency itself, and we have set their numbers at 128, some of whom are to be used for special missions with the royal family, as determined by His Highness the Crown Prince. In this connection the United States side informed us of its dissatisfaction with the performance of the Royal Guard forces at the time of the criminal attack on His Highness the Emir.

2. We agreed with the United States side that visits would be exchanged at all levels between the State Security Department and the Central Intelligence Agency, and that information would be exchanged about the armaments and social and political structures of Iran and Iraq.

3. We sought assistance from Agency experts in reviewing the structure of the State Security Department, which, according to the instructions given by His Highness the Emir, was to be accorded major priority at our meeting with the United States side. This would involve use of their expertise in drawing up a new strategy for action commensurate with the changes in the Gulf region and the country’s internal situation, by developing a computer system and automating functions in the State Security Department.

4. The United States side said it was entirely willing to meet our request for an exchange of information concerning the activities of Shia groups in the country and certain States of the Gulf Cooperation Council. Mr. Webster applauded our measures to combat movements in Iran and said that the Agency was willing to take joint steps to eliminate points of tension in the Gulf region.

5. We agreed with the American side that it was important to take advantage of the deteriorating economic situation in Iraq in order to put pressure on that country’s government to delineate our common border. The Central Intelligence Agency gave us its view of appropriate means of pressure, saying that broad cooperation should be initiated between us, on condition that such activities are coordinated at a high level.

6. The United States side is of the opinion that our relations with Iran should be conducted in such a way as, on the one hand, to avoid contact with that country, and on the other, to exert all possible economic pressure on it and to concentrate on effectively bolstering its alliance with Syria. The agreement with the United States side provides that Kuwait will avoid negative statements about Iran and restrict its efforts to influencing that country at Arab meetings.

7. We agreed with the United States side that it was important to combat drugs in the country, after Central Intelligence Agency narcotics experts informed us that much Kuwaiti capital is being used to promote drug trafficking in Pakistan and Iran, and that the spread of such trafficking will have negative consequences for the future of Kuwait.

8. The United States side placed a special telephone at our disposal to promote the rapid exchange of views and information that do not require written communications. The number of the telephone, which is Mr. Webster’s private line is,.


Article nr. 37637 sent on 29-oct-2007 04:22 ECT


www.uruknet.info?p=37637

Link: www.malcomlagauche.com/id1.html

domingo, 4 de noviembre de 2007

Sarkozy accused of working for Israeli intelligence

by Gamal Nkrumah

Global Research, November 3, 2007
Al Ahram Weekly

Sarkozy's bad week

As if his marital challenges were not enough cause for concern, "Sarco the Sayan" has suddenly emerged as the most infamous accolade of French President Nicolas Sarkozy. The influential French daily Le Figaro last week revealed that the French leader once worked for -- and perhaps still does, it hinted -- Israeli intelligence as a sayan (Hebrew for helper), one of the thousands of Jewish citizens of countries other than Israel who cooperate with the katsas (Mossad case-officers).

A letter dispatched to French police officials late last winter -- long before the presidential election but somehow kept secret -- revealed that Sarkozy was recruited as an Israeli spy. The French police is currently investigating documents concerning Sarkozy's alleged espionage activities on behalf of Mossad, which Le Figaro claims dated as far back as 1983. According to the author of the message, in 1978, Israeli prime minister Menachem Begin ordered the infiltration of the French ruling Gaullist Party, Union pour un Mouvement Populaire. Originally targeted were Patrick Balkany, Patrick Devedjian and Pierre Lellouche. In 1983, they recruited the "young and promising" Sarkozy, the "fourth man".

Ex-Mossad agent Victor Ostrovsky describes how sayanim function in By Way Of Deception: The Making and Unmaking of a Mossad Officer. They are usually reached through relatives in Israel. An Israeli with a relative in France, for instance, might be asked to draft a letter saying the person bearing the letter represents an organisation whose main goal is to help save Jewish people in the Diaspora. Could the French relative help in any way? They perform many different roles. A car sayan, for example, running a rental car agency, could help the Mossad rent a car without having to complete the usual documentation. An apartment sayan would find accommodation without raising suspicions, a bank sayan could fund someone in the middle of the night if needs be, a doctor sayan would treat a bullet wound without reporting it to the police.

And, a political sayan ? It's rather obvious what this could mean. The sayanim are a pool of people at the ready who will keep quiet about their actions out of loyalty to "the cause", a non-risk recruitment system that draws from the millions of Jewish people outside Israel.

Such talk sends chills down spines, especially Arab and Muslim ones. Indeed, the revelation did not go unnoticed in Arab capitals or come as much of a surprise. Paris can be a sunny place for shady people. When it comes to intelligence gathering on behalf of Israel, a question mark is immediately raised on the moral calibre of the person in question. But, how does this scandal influence France's foreign and domestic politics?

It is of symbolic significance that Israeli Prime Minister Ehud Olmert was on a state visit to France in the immediate aftermath of Le Figaro 's exposé -- ostensibly to discuss Iran's nuclear agenda and the Palestinian question. Proud and prickly France under its supposedly savvy new president hopes to play a more prominent role in the perplexing world of Middle Eastern politics. On Monday, Sarkozy flew to Morocco, the ancestral home of many of France's Jewry, soon after his Mossad connection was made public. There is no clear evidence that the revelation is to make France any more unpopular in the Arab world than it already is, especially not in official circles.

On the domestic front, however, there are many conflicting considerations. The Jews of France now display a touch of the vapours, in sharp contrast to the conceited triumphalism with which they greeted his election: "we are persuaded that the new president will continue eradicating anti-Israeli resistance," Sammy Ghozlan, president of the Jewish Community of Paris pontificated soon after Sarkozy's election. France is home to 500,000 Jews, mostly Sephardic Jews originally from North Africa and Mediterranean countries.

Sarkozy's own maternal grandfather Aron Mallah, hailed from Salonika, Greece, and is said to have exercised considerable influence on his grandson. Even though raised as a Roman Catholic, "Sarkozy played a critical role in moving the French government to do what is necessary to address the ill winds that threaten the largest Jewish community in Western Europe," noted David Harris, the executive director of the American Jewish Committee. Sarkozy, after all, was a political product of the predominantly Jewish elite neighbourhood of Neuilly-sur-Seine, where he long served as mayor.

France's Muslim minority was far from surprised by Le Figaro 's revelations, even though some may have feigned disappointment. Others have been more forthright. "France is not run by Frenchmen, but by lackeys of the Zionist International who control the economy," lamented Radio Islam, of militant Islamist tendencies. When Sarkozy was France's minister of interior and clamped down hard on Muslim immigrants, calling mainly Muslim rioters "scum" in a widely-publicised interview, they retaliated by calling him "Sarkozy, sale juif [dirty Jew]". Obviously there is no love lost between the five million-strong French Muslim community, the largest in Western Europe, and the French president. He has grounds for concern. He assiduously courts the Israelis. That much is known.

In the scientific annals of French politics there is a cautionary tale of pantomime. French presidents are not always what they seem. There are, however, two key observations concerning Sarkozy. One, is Sarkozy's intention of implementing a "new social contract" between employers and employees, capital and labour. This smacks of Thatcherism. His determination to force a "cultural revolution" in the collective national psyche is a trifle farcical. And unprincipled to boot. He recently introduced legislation -- in tandem with his pension cuts, calling for genetic profiling of immigrants to ensure any relatives intending to immigrate are linked genetically. The strategy appears to be to soften the blow of the social security cuts by appealing to xenophobic racism.

The state of race relations in France is an even more muddled picture than the devastating caricatures by French-African comedian Dieudonne suggest. He is notorious for playing the part of a Hassidic Jew who mimics the Nazi salute. Few politicians blame their troubles on cynical comedians, though, and Sarkozy is no exception. His fans point accusing fingers at the "irresponsible press".

The real magic starts when you power Sarkozy with his ex-model wife. She, after all, played a part in the freeing of the Bulgarian nurses and a Palestinian medical doctor. She, too, is of Spanish-Jewish ancestry. But, that may be nothing but an insignificant aside. France, generally, regarded their bust-up as something of a bad joke. Unlike the Americans, the French do not take the private lives of their presidents terribly seriously. There was the late François Mitterrand, for example. Hardly anyone in all France raised an eyebrow when it transpired that he had an illegitimate daughter. The French are more concerned with the ideological orientation and political affiliation of their president and are not in the least interested in their private affairs -- at least not in any political sense.

The interesting twist, however, is that the contest between Cecilia and Nicolas Sarkozy is a comic cross between a lover's tiff and the battle of the sexes. It appears befuddled French voters are being forced to turn a blind eye to their leaders' antics. Sarkozy's divorce follows hard on the heels of the separation of France's first female presidential candidate Ségolène Royal, the "gazelle" of French politics, from her lifelong lover François Hollande barely a month after she lost the presidential race in May. Moreover, at the tender age of 19, Royal sued her father for his refusal to divorce her mother and pay alimony and child support. That was way back in 1972; barely a decade later she won the case against her father. Ironically, Royal's own mentor the late French socialist president Mitterrand was notorious for his extra-marital affairs, the most conspicuous being his love affair with Anne Pingeot and subsequent disclosure towards the end of his life that he fathered an illegitimate daughter Mazarine with her.

And, what of the voters? The latest hazard facing the French president has been his socio-economic policies. Sarkozy's showdown with the trade unions threatens to turn into a deciding moment for France. Foreign policy, too, has come under much scrutiny. France has become fanatically Atlanticist under the presidency of Sarkozy. Although, unlike US President George W Bush, Sarkozy does not make much noise about his own dubious religious convictions. The commonest criticism of Sarkozy is that he is overly conscious of his religious heritage, a trait that is not appreciated by the fanatically secular French political establishment. France is culturally the most irreligious country in Europe, itself the most secular and anti-religious of the world's continents.

For a politician acclaimed for his acumen, it is startling that Sarkozy has been tripped up by events he should have seen coming. His sagacity obviously failed him this week. Le Figaro let the cat out of the bag. And his wife, too, after shopping with Lyudmila Putin, the Russian first lady, apparently decided that she had had enough of being treated as "part of the furniture" and made their rift very public.

France is now in the awkward position of having no first lady. The 49 year- old former model, lawyer and political advisor is by no means media shy. "I gave Nicolas 20 years of my life," she told the popular French magazine Elle in a special feature which she asked for personally, despite the awkwardness of its timing. She had long complained of being politically peripheralised. Troubling as that interpretation is, it is in a way a consoling one for Sarkozy. He is now free to handle his opponents without his maverick Cecilia breathing down his neck or, on the contrary, disappearing at crucial moments.

Even with his personal life in tatters, Sarkozy is obliged to hoist the French tricoleur high in the international arena. Which flag is it to be?


Global Research Articles by Gamal Nkrumah

viernes, 2 de noviembre de 2007

Israel admite que perdió la guerra de la propaganda en Líbano. Un informe explica por qué las declaraciones de Hizbolá tenían más credibilidad



EUGENIO GARCÍA GASCÓN - Jerusalén - 01/11/2007

La segunda guerra de Líbano, que libraron Israel y Hizbolá en el verano de 2006, tuvo muchos frentes y no todos están cerrados. El conflicto suscitó en Israel una serie de incómodas preguntas que 16 meses después no se han contestado satisfactoriamente.

Un buen ejemplo son los trabajos de la comisión Winograd que investiga los errores del Gobierno y el Ejército israelíes y que todavía no han concluido.


Esta semana la Kneset ha debatido otra cuestión, la campaña mediática que los líderes hebreos llevaron a cabo durante el conflicto. A la luz de un comité del Parlamento, la campaña fue un fracaso.


Esta opinión no debe sorprender. Un sondeo que se realizó en Israel hacia el final de la guerra reveló que los israelíes daban mayor credibilidad al secretario general de Hizbolá, Hasan Nasrallah, que a su primer ministro, Ehud Olmert, a pesar de que este último hacía declaraciones a diario y Nasrallah apenas habló para la televisión en dos o tres ocasiones.


Un comité de la Kneset ha elaborado un informe en el que se determina que los responsables israelíes “no consiguieron responder de una manera efectiva y certera a la campaña de Hizbolá”, a pesar de tener a su alcance el apoyo de un Estado que ha desarrollado al máximo desde hace muchas décadas la hasbara.


Hasbara es una palabra hebrea que literalmente significa “explicación” pero que a menudo se traduce como “propaganda” o, en una versión más sutil, como “relaciones públicas”. Israel ha dado durante años una gran importancia a la hasbara no sólo en el interior del país sino también de cara al exterior.


El comité cree que los mensajes de Nasrallah fueron más efectivos porque el secretario general de Hizbolá fue el único representante de su movimiento que los hizo.

Frente a él, una multitud de líderes israelíes hablaban a diario sin descanso desde la mañana a la noche.


Por este motivo, la población israelí no atribuía a las profusas declaraciones de sus líderes el mismo valor que otorgaba a Nasrallah.


Pronósticos fallidos


Además, mientras los líderes israelíes afirmaban cosas que posteriormente no ocurrían, todos los pronósticos que hacía Nasrallah se terminaban cumpliendo.


Al frente del comité de estudio de la Kneset ha estado la coronel Amira Dotan, quien durante los últimos meses ha entrevistado a fondo a los responsables civiles y militares de la hasbara así como a expertos en ajenos al poder.


En relación al Ministerio de Exteriores, Dotan afirma que sus responsables no estaban preparados para la guerra y aunque trabajaron intensamente para defender los intereses de Israel en el extranjero, no lo consiguieron debido a que carecían de unas directrices adecuadas. Además, conforme la guerra se fue extendiendo en el tiempo, no sabían muy bien cómo manejar la situación.


El informe también reprocha el comportamiento de algunos responsables militares y del estamento político, especialmente porque al principio de la guerra crearon unas expectativas ante la opinión pública que luego no pudieron cumplir.
http://www.publico.es/

martes, 30 de octubre de 2007

طوارىء أمنية في سفارتي أمريكا وبريطانيا بأذربيجان


تاريخ الحدث: 29 أكتوبر, 2007

أعلن مسئولون أن بريطانيا أغلقت سفارتها في أذربيجان، اليوم الاثنين، بسبب مخاوف أمنية كما قلصت الولايات المتحدة عمليات سفارتها لأسباب أمنية أيضا.. ولم تعلق أي من السفارتين على طبيعة التهديد.

وأعلنت متحدثة باسم السفارة البريطانية: "السفارة أغلقت بسبب بعض المخاوف الأمنية المحلية. وسيظل الموقف تحت المراجعة."


من جانبه قال متحدث باسم السفارة الأمريكية: "السفارة تقوم بعمليات محدودة بسبب تهديد للسفارة."

جدير بالذكر أن أذربيجان هي دولة منتجة للنفط يعيش بها ثمانية ملايين نسمة، غالبيتهم مسلمون، وتقع ما بين تركيا وإيران وروسيا

(المصدر: وكالة الأخبار (نبأ

Agency

lunes, 29 de octubre de 2007

Commander Stresses IRGC Readiness to Combat Enemy Troops in PG


foto:Fars News Agency


TEHRAN (Fars News Agency)

An Islamic Revolutionary Guards Corps (IRGC) commander underlined preparedness of his troops to fight enemy forces in the Persian Gulf, saying that Iran can stun enemies due to its geographical advantages in the strait of Hormoz.

"Even small operations can produce huge effects in the strategic strait of Hormoz and the Persian Gulf," lieutenant commander of the IRGC's naval force said on Monday.

General Ali Fadavi noted IRGC's various plans for upgrading the combat abilities of the Basiji (volunteer) troops in naval warfare, and said, "The number of Basiji troops is not important in these plans; what matters is their qualitative presence because everyone of them can do a great job."

He declined to provide any further details on the specific role of the Basiji troops in possible engagement with enemy forces in the Persian Gulf, but said that each of them can play the role of martyr Fahmideh.

Hossein Fahmideh was a 13-year-old volunteer who blew up an enemy tank during a martyrdom-seeking operation in the midst of the Iraqi imposed war on Iran (1980-1988).

Due to a lack of RPG rockets and the sensitive formation of enemy tanks, Fahmideh wrapped himself in a grenade belt and lied under the tank to blow it up.

The IRGC commander said that the aforementioned plans would be staged once enemies dare to attack the country.

"IRGC and Basij have started tight cooperation and the fruit of these plans will be observed when enemies grow so foolish that they embark on posing a threat to Iran in practice," he said.
http://www.farsnews.com/

Embajador de Irán en Madrid tacha de “terrorismo económico” las sanciones de Washington contra Teherán



Madrid, España. IRNA. 29 de octubre de 2007
“La actitud ilegal de EEUU para con Irán es una especie de terrorismo económico que se practica con el fin de crear miedo en el sistema económico internacional.”

Esta frase forma parte de la respuesta que ha dado hoy lunes el embajador de Irán en Madrid, Seyyed Davud Salehi, a la respuesta de nuestro corresponsal de IRNA, quien inquirió sobre qué buscan los norteamericanos con las nuevas sanciones lanzadas contra Irán en un momento tan sensible, a la espera del nuevo informe de Mohamed ElBaradei, director general de la Agencia Internacional de la Energía Atómica (AIEA).

En esta rueda de prensa, que se ha celebrado en la misma sede de la embajada iraní en la capital española, IRNA preguntó si las nuevas sanciones unilaterales lanzadas por EEUU contra los Guardianes de la Revolución de Irán y tres bancos iraníes procuran marear a los iraníes a las puertas del nuevo informe de la agencia en noviembre, o bien hacerle cambiar a éstos su política de cooperación, teniendo en cuenta de que las autoridades de Teherán dijeron hace algún tiempo que no responderían a las cuestiones pendientes en el caso de que se emitiesen nuevas sanciones, a lo que replicó: “Irán no se ha mareado sino que ha sido la actitud positiva de Teherán la que ha mareado al mundo”.

Salehi agregó si con ello lo que procuran es que cambiemos nuestra política de cooperación, “no se saldrán con la suya”.

“Los países europeos tienen su propia política individual y no anularán los contratos de sus compañías por las políticas de Washington”, añadió Salehi tras hacer referencia a la cooperación económica que la UE sigue manteniendo con Irán, sobre todo, en el sector energético.

Salehi recordó que el tema de los embargos norteamericanos contra Irán no es un asunto nuevo, que Teherán los lleva padeciendo desde el estallido de la Revolución islámica en 1979.

El embajador iraní no negó que estros embargos hayan hecho daño al pueblo iraní, pero afirmó que los beneficios han sido mayores ya que “han creado la oportunidad de llegar a la autosuficiencia, resultando, pues, contraproducente pues han conseguido los norteamericanos lo contrario de los que buscaban.”

“A pesar de los 28 años que llevamos sufriendo las sanciones, hemos logrado acceder a la tecnología nuclear para fines pacíficos, a la nanotecnología y a la biotecnología”, explicó.

Salehi aclaró que los lemas proferidos de “muerte a América” por el pueblo iraní a lo largo de estos 28 años no son contra el pueblo de EEUU sino contra un Gobierno, el de la Casa Blanca, “que no reconoce las reglas del juego internacional.”

El diplomático iraní, —que no dejó de reiterar a lo largo de toda esta rueda de prensa que duró hora y media, que Irán sólo reclama sus derechos y que no utiliza la tecnología nuclear para fabricar bombas atómicas ni de destrucción masivas —como sí hacen otros gobiernos, como EEUU—, indicó que Teherán tiene dos maneras de neutralizar los efectos negativos de las acciones de los Estados Unidos; a saber, mediante una “planificación interna” y desplegando una “diplomacia activa.”

domingo, 28 de octubre de 2007

Irán puede presumir de tener la elite de información exterior más importante en la actualidad

Israel ha tocado fondo...hundido.
Su debilidad queda plasmada en éste articulo de el nuevo diario español PUBLICO.

Cuando un estado ( Israel no es legalmente un estado, NO tiene definidas sus fronteras) recurre a pobres enfermos desvalidos pera obtener información......LAS COSAS NO ANDAN BIEN para quien recurre a semejantes técnicas de exterminio si no das información.

Que diferencia tan grande entre la inteligencia de Irán y estos acabados servicios de información israelíes.

Para informar a los iraníes hay cola, tienen que guardar un turno y después pasar a engrosar la inmensa lista de contactos exteriores, una cosa de lujo, no de pordioseros rastreros servicios de información.

Irán puede presumir de tener la elite de información exterior más importante en la actualidad.
Sus fuentes recorren el conteniente americano de norte a Sur, en Europa cuenta con más contactos que algunos servicios de información de países muy importante en la UE, en Oriente Medio.....mejor recordar el ridículo que hizo Israel el año pasado en el Líbano frente a Hizbullah. No menciono otros lugares de Asia por obvios.

Conclusión: Donde hay que tener fuentes de primera clase Irán las tiene a miles y lo mejor de todo es que le salen gratis en la mayoría de los casos, mientras que Israel se tiene que conformar con los pobres enfermos.

El odio generado por los líderes politicos de Israel a propiciado una forma de venganza limpia , sin muertos ni acciones encubiertas, solo es INFORMACIÓN pero todos sabemos que la información es poder y si esa información esta por todos sitios al servicio de Irán....جمهوری اسلامی ایران

Todo vale para reclutar confidentes palestinos. El derecho a recibir tratamiento médico en Israel sólo se tiene a cambio de información.


Soldados israelíes trasladan a detenidos palestinos en una operación en Gaza. AFP

EUGENIO GARCIA GASCÓN - CORRESPONSAL EN JERUSALÉN - 27/10/2007 20:01

El reciente caso de Yaser Hiyya, de 37 años, es bastante ilustrativo. Hiyya, vecino de Jan Yunis, al sur de la franja de Gaza, comenzó a sentirse mal el verano pasado. Acudió aun hospital de Gaza y hace unas semanas le diagnosticaron una dolencia en el corazón.Los médicos le dijeron que necesitaba un tratamiento urgente que los hospitales de Gaza no podían ofrecerle. En Nablus, al norte de la Cisjordania ocupada, existe un hospital que ha tratado casos semejantes, de manera que Hiyya solicitó al Ejército israelí un permiso para cruzar Israel y viajar a Cisjordania.
El Ejército le concedió el permiso, pero en realidad era una trampa. Cuando Hiyya llegó al paso fronterizo de Erez, le estaban esperando agentes del Shin Bet que le interrogaron durante todo el día. Los agentes le dijeron que, si quería pasar, tenía que hacerse colaboracionista. Hiyya rechazó la oferta y fue devuelto a Gaza.
Perseguir a los vulnerables
La organización israelí Médicos por los Derechos Humanos ha documentado en los últimos meses la muerte de seis palestinos enfermos a quienes el Shin Bet no ha permitido salir de la franja de Gaza.
“Perseguir a los más vulnerables no sólo es ilegal, sino también despreciable”, máxime cuando comportala muerte de enfermos, ha dichoFred Abrahams, de la asociación Human Rights Watch.
Según la Organización Mundial de la Salud, Israel permitía la salida de Gaza a 700 enfermos cada mes, pero esta cantidad se ha reducido significativamente desde que ellaborista Ehud Barak desempeña la cartera de Defensa.
En el caso de Hiyya, el Shin Bet estaba interesado en su hermano,un miembro de las Brigadas al-Aqsa, la milicia cercana a Fatah, a quienIsrael ha tratado de asesinar sin éxito en dos ocasiones.
En la mayoría de los casos documentados, el Shin Bet busca tener
informadores en la franja y en Cisjordania que les mantengan al tanto del movimiento de milicianosy políticos a quienes los israelíes quieren eliminar.
El blanco fácil de los enfermos
Para conseguir colaboracionistas, el Shin Bet recurre a métodos muy dudosos. Por ejemplo, a un estudiante que desea viajar a una universidad europea o norteamericana para proseguir sus estudios se le puede prohibir la salida de los territorios ocupados si no se convierte en confidente. La misma presión se puede ejercer sobre una persona que necesite un medicamento que escasea en los territorios palestinos.
El periodista Basam Wahedi vivió una experiencia similar. Wahedi, de 28 años, tiene una enfermedad ocular grave y los médicos de Gaza le han dicho que se quedará ciego si no se le interviene rápidamente. Como Hiyya, Wahedi obtuvo un permiso de Israel para salir de Gaza, pero a él también lo detuvieron en el paso de Erez.
Los agentes del Shin Bet le interrogaron y le ofrecieron tratamiento médico a cambio de que se convirtiera en informador y recabara información sobre los milicianos que disparan cohetes contra Israel. Wahedi rechazó la propuesta y fue devuelto a la franja de Gaza. “Nunca saldrás de Gaza si no nos ayudas”, le advirtieron los agentes del Shin Bet.
Una vez que un colaboracionista ha caído en la red, su vida y la vida de su familia y amigos se convierte en un infierno. Los colaboracionistas son percibidos como un cáncer por la sociedad, aunque todos son conscientes que su número es muy elevado y ninguna familia palestina puede estar segura de que ninguno de sus miembros no trabaja para Israel.
Desde la primera intifada en 1988, centenares de palestinos que trabajaban para el Ejército o los servicios secretos israelíes han sido asesinados por los grupos armados palestinos. Los más valiosos de entre los informadores reciben de las autoridades el premio de vivir en Israel, alejados de las represalias, aunque setrata de un privilegio que está al alcance de pocos.
Lo mejor que le puede ocurrir a un colaboracionista es ser detenido por las autoridades de Gaza, incluso aunque éstas sean de Hamas, porque, si por casualidad es descubierto por la gente, lo más probable es que le maten los milicianos a la primera ocasión que se presente.
En la prisión central de Gaza existe una galería específica para alojar a colaboracionistas. En la cárcel se sienten más seguros, aunque puede
ocurrir que ni siquiera allí sobrevivan al castigo.
Ése fue el caso de Mahmud Sharif, quien facilitó a los israelíes la información que se utilizó en el asesinato de un líder de la Yihad Islámica.
Sharif, de 52 años, resultó herido cuando un grupo de milicianos arrojó una granada contra la galería de los colaboracionistas. Sharif y otros siete heridos fueron ingresados en el hospital Shifa de Gaza. Unas horas después, varios milicianos llegaron hasta su cama y lo eliminaron de dos disparos en la cabeza.

http://www.publico.es/